Critique du volume manga
Publiée le Vendredi, 18 Décembre 2020
Comme le laisse un petit peu deviner la jaquette de ce huitième volume, la Saint-Valentin arrive pour les jeunes élèves de Quand Takagi me taquine ! Et forcément, chacun réagit différemment face à cet événement, en ayant parfois des attentes toutes particulières vis-à-vis de certaines personnes. Ainsi, la gentillesse (ou la gaminerie) de Mina qui a fait des chocolats pour tout le monde est particulièrement adorable, tout comme cette chère Mano qui tente de braver sa timidité afin d'offrir ses chocolats à son Nakai adoré, même si ce dernier est fidèle à lui-même en n'étant pas toujours hyper attentif. Mais il en faut peu pour satisfaire la jeune fille amoureuse... Et tandis que les amis de Nishikata se voient mal aller chercher leur chocolat auprès de Mina, notre héros, lui, s'interroge: Takagi va-t-elle lui offrir quelque chose, et est-ce qu'il en a seulement envie ? S'étalant sur deux chapitres, ce passage de la fête des amoureux s'avère fort bien tourné, et d'autant plus sympathique qu'il met un peu en scène divers personnages.
Pour la suite, on revient à une sorte de routine où chaque chapitre indépendant propose une nouvelle situation au bout de laquelle Takagi se fait une joie de taquiner Son cher Nishikata, que ce soit en anticipant ses coups, en gagnant ses défis ou en trouvant les bonnes paroles pour le troubler, tout en laissant encore deviner en filigranes les sentiments. Nishikata qui essaie de se la raconter au bilboquet pour piéger Takagi, qui doit essayer de deviner pour la jeune fille n'a pas sa bicyclette avec elle (avec une réponse si évidente quand on connaît Takagi), des concours de bonhomme de neige ou de ricochets... Chaque situation est simple mais bien renouvelée, si bien que la lecture n'est toujours pas répétitive après 8 tomes. Et puis, on appréciera facilement les petits tourments intérieurs de Nishikata quand, pour éviter un accident, il prend la main de Takagi, ou tout simplement le fait qu'il se prenne bien souvent au jeu des défis en étant l'initiateur de plus d'un duel.
Bref, il n'y a pas forcément grand chose de neuf à dire puisque chaque tome fonctionne sur le même schéma, mais le renouvellement est là dans les petites idées, la lecture est toujours amusante et mignonne... Quand Takagi me taquine reste une petite lecture très rafraîchissante, tout simplement.
Pour la suite, on revient à une sorte de routine où chaque chapitre indépendant propose une nouvelle situation au bout de laquelle Takagi se fait une joie de taquiner Son cher Nishikata, que ce soit en anticipant ses coups, en gagnant ses défis ou en trouvant les bonnes paroles pour le troubler, tout en laissant encore deviner en filigranes les sentiments. Nishikata qui essaie de se la raconter au bilboquet pour piéger Takagi, qui doit essayer de deviner pour la jeune fille n'a pas sa bicyclette avec elle (avec une réponse si évidente quand on connaît Takagi), des concours de bonhomme de neige ou de ricochets... Chaque situation est simple mais bien renouvelée, si bien que la lecture n'est toujours pas répétitive après 8 tomes. Et puis, on appréciera facilement les petits tourments intérieurs de Nishikata quand, pour éviter un accident, il prend la main de Takagi, ou tout simplement le fait qu'il se prenne bien souvent au jeu des défis en étant l'initiateur de plus d'un duel.
Bref, il n'y a pas forcément grand chose de neuf à dire puisque chaque tome fonctionne sur le même schéma, mais le renouvellement est là dans les petites idées, la lecture est toujours amusante et mignonne... Quand Takagi me taquine reste une petite lecture très rafraîchissante, tout simplement.
21/08/2024 
