Peace Maker Vol.8 - Actualité manga

Peace Maker Vol.8 : Critiques

Peace Maker

Critique du volume manga

Publiée le Lundi, 22 Juillet 2013

Cinq années ont passé depuis la cruelle défaite de Beat au Guns of Dominations. Cinq années où Cole Emerson a établi un règne de terreur, après avoir pris la succession de Philip Crimson. Cinq années de chaos où l'espoir s'est éteint, jusqu'à la réapparition d'un célèbre pistolet lbérateur dans les mains d'une jeune fille qui a bien grandi...

Après avoir fait disparaitre deux de ses protagonistes, la série Peace Maker s'offre un bond dans le temps pour entrer dans une nouvelle ère. Avec cette ellipse, les promesses de la tragique conclusion du volume précédent trouvent déjà un début de réalisation. Nous retrouvons une Nicola Crimson transfigurée, aux antipodes de la fillette renfermée que nous connaissions. Devenu une fine gâchette grâce aux enseignements de Conny, sa tutrice de fortune, l'adolescente prend dignement la relève de Hope dans ce nouveau cycle scénaristique. L'histoire nous ramène d'ailleurs vers les premiers lieux rencontrés, avec une démonstration technique face à des ennemis qu'on aura vite fait d'oublier. Mais cette mise en bouche permettra de poser les bases du retour de l'intrigue, la demoiselle retrouvant de nouvelles traces de son passé...

Pour la seconde moitié du volume, nous nous rendons alors à Aquatarkus, en proie à de nombreux bouleversements. Odio Elpton, n'étant plus en état de diriger la nation, cède le pouvoir à son fils Hyman, un général impitoyable qui a bien l'intention de réunifier le pays sous sa coupe. Et ce, malgré les poches de résistance intestines qui agitent la région, où l'on retrouvera d'autres visages bien connus... Ainsi, après une mise en bouche un peu factice, la seconde ère de Peace Maker retourne rapidement au cœur de ses intrigues, avec des personnages à l'évolution prometteuse. On regrettera en revanche le manque d'implication ressenti devant l'action et les scènes de guerre, servant avant tout de prétexte au développement scénaristique. Mais malgré cela, les promesses offertes par ce nouveau départ sont suffisamment intéressantes pour maintenir notre intérêt. Encore un coup qui fait mouche !


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
Tianjun
16 20
Note de la rédaction
Note des lecteurs