Parfait Tic Vol.12 : Critiques

« Il paraît que l’amour… c’est contagieux ! »

Et voilà que Nagamu Nanaji recommence à malmener tout ce beau monde de « Parfait Tic », tout en tenant sans peine les lecteurs en haleine! Ichi, abattu comme jamais, avoue lui-même qu’il ne sait plus où il en est. Quel choc ! Entre ce personnage taciturne, son cousin qui ne peut s’empêcher d’épauler celle qu’il aime, et l’héroïne qui essaie d’oublier son amour à sens unique, on ne sait plus vraiment où donner de la tête. Du début à la fin, les surprises et retournements de situations s’enchaînent à un rythme effréné. Il est très difficile de s’ennuyer, voire impossible. L’amitié, qui est aussi une chose très importante dans cette série est également romancée dans un sens. L’auteure nous montre toujours les amies qui s’entraident, prêtent à s’écouter l’une l’autre, et à se laisser aux larmes lorsque la pression est trop forte. Tous les éléments sont alors présents pour faire vivre les personnages de « Parfait Tic », mais surtout l’héroïne, aux yeux des lecteurs : de l’amitié, indispensable au bien-être, beaucoup d’amour, et aussi des situations périlleuses qui confrontent toujours chacun à la réalité des sentiments des autres, et à celle de son propre cœur.
Malgré des scènes tristes et qui semblent mettre l’héroïne face à un gouffre impossible à franchir, l’humour est tout de même de rigueur. Mais également, la romance est de mise. On remarque alors que ce douzième est ponctué, davantage que les volumes précédents, de monologues et pensées pleines de larmes et d’émotions. Malgré toute cette pleurnicherie, et des questions parfois inutiles, l’on se prend très vite au jeu, sans s’en moquer un seul instant.