Critique du volume manga
Publiée le Jeudi, 04 Avril 2019
C'est le grand chambardement chez Kimihito et ses monstrueuses et charmantes colocataires ! Les unes après les autres, les mères de Miia, de Papi et de Cerea doivent rendre visites à leurs filles chez notre héros, et avec elles l'étudiant n'est pas au bout de ses surprises, notamment en découvrant certaines de leurs moeurs...
Le moins que l'on puisse dire est que les trois mamans en question sont assez excellentes dans leur genre, et qu'elle ne vont pas manquer de pimenter encore un peu plus la vie de notre héros avec les monster girls, essentiellement parce que Kimihito va avoir tout le loisir de découvrir certains traits de leur personnalité, et d'en apprendre encore un peu plus non seulement sur les moeurs des lamias, des harpies et des centaures, mais aussi sur certains éléments plus personnels concernant ses colocataires. Que ce soit le besoin du peuple exclusivement féminin des lamias de trouver des mâles humains, la mission initiale qu'avait Miia, les habitudes relationnelles extrêmement libres des harpies, le rapport de Cerea à certaines traditions ou innovations de son peuple... Kimihito n'est pas au bout de ses surprises, et généralement le mangaka Okayado parvient à bien traiter tout ceci avec son lot d'humour, d'érotisme et d'assez bonne exploitation de certains éléments typiques de chaque peuple, chacun ayant sa culture et ses spécificités.
Si Miia, Papi et Rea (et leurs mères, bien sûr) occupent l'essentiel de l'attention lors des trois premiers quarts du volume, le dernier chapitre, lui, parvient heureusement à rééquilibrer la donne en mettant un petit peu plus en avant les autres filles-monstres, qui chacune leur tour font montre de leur rapport à Kimihito, d'autant plus que la question du futur choix de notre héros revient sur le devant. Il en résulte certaines situations assez loufoques et exploitant assez bien certaines demoiselles en particulier, même si malheureusement c'est la plupart du temps un peu rapide et en surface. Mais certains gags fonctionnent bien, par exemple autour de la passion de Mero pour les amours tragiques et les différentes fois où Kimihito frôle la mort. Le tout avec, au bout du compte, une utilisation aussi rapide qu'efficace et satisfaisante de celle que l'on trouvait trop en retrait: l'exquise dullahan Lala.
Le moins que l'on puisse dire est que les trois mamans en question sont assez excellentes dans leur genre, et qu'elle ne vont pas manquer de pimenter encore un peu plus la vie de notre héros avec les monster girls, essentiellement parce que Kimihito va avoir tout le loisir de découvrir certains traits de leur personnalité, et d'en apprendre encore un peu plus non seulement sur les moeurs des lamias, des harpies et des centaures, mais aussi sur certains éléments plus personnels concernant ses colocataires. Que ce soit le besoin du peuple exclusivement féminin des lamias de trouver des mâles humains, la mission initiale qu'avait Miia, les habitudes relationnelles extrêmement libres des harpies, le rapport de Cerea à certaines traditions ou innovations de son peuple... Kimihito n'est pas au bout de ses surprises, et généralement le mangaka Okayado parvient à bien traiter tout ceci avec son lot d'humour, d'érotisme et d'assez bonne exploitation de certains éléments typiques de chaque peuple, chacun ayant sa culture et ses spécificités.
Si Miia, Papi et Rea (et leurs mères, bien sûr) occupent l'essentiel de l'attention lors des trois premiers quarts du volume, le dernier chapitre, lui, parvient heureusement à rééquilibrer la donne en mettant un petit peu plus en avant les autres filles-monstres, qui chacune leur tour font montre de leur rapport à Kimihito, d'autant plus que la question du futur choix de notre héros revient sur le devant. Il en résulte certaines situations assez loufoques et exploitant assez bien certaines demoiselles en particulier, même si malheureusement c'est la plupart du temps un peu rapide et en surface. Mais certains gags fonctionnent bien, par exemple autour de la passion de Mero pour les amours tragiques et les différentes fois où Kimihito frôle la mort. Le tout avec, au bout du compte, une utilisation aussi rapide qu'efficace et satisfaisante de celle que l'on trouvait trop en retrait: l'exquise dullahan Lala.
Même si on aurait aimé que certains éléments soient un petit peu plus approfondis, Monster Musume reste donc ici sur une très bonne dynamique avec ce volume qui apporte pas mal de bonnes choses, entre humour loufoque, éléments coquins et galerie de personnages féminins assez bien exploitée. Après sept volumes, l'oeuvre continue de se renouveler tout en conservant sa tonalité si unique, et on espère évidemment que ça va encore durer.
28/05/2021 