Momo - La petite diablesse Vol.2 - Actualité manga

Momo - La petite diablesse Vol.2 : Critiques

Critique du volume manga

Publiée le Lundi, 08 Novembre 2010

Momo rêvait d’un planétarium depuis que Yume lui avait promis, et celle-ci parvient enfin à l’acheter sur les économies qu’elle fait consciencieusement. Cela lui fait gagner instantanément un second point, même si tout ne se déroule pas comme prévu, à cause de l’intervention mouvement d’un Piko qui a essayé de corrompre Yume. Celle-ci à néanmoins été encouragée à trahir Momo et son joli sourire par Nanagi, ce qu’elle a bien du mal à comprendre même avec le recul … On regrette que Piko n’ait un rôle que très secondaire et insipide, comme méchant de pacotille. Ceci dit, on voit d’ici venir que ce volume-ci est placé sous le signe de l’amitié naissante et de l’attachement de Yume pour Momo … Par la suite, la jeune adolescente retourne en cours mais aux côtés de Nanagi, qui devrait soit disant la protéger de Piko ! Seulement, sa présence attire à Yume bien d’autres ennuis. De par sa beauté, il s’attire les attentions de la plus belle fille de l’école, Miyu Fujita, qui ne trouvera rien de mieux que de voler le bracelet à points de Yume, croyant fragiliser le lien qu’elle imagine entre la cible de ses charmes et sa rivale.

Il est alors assez intéressant de suivre une Miyu motivée comme jamais pour prendre la place de représentante de Yume, après que celle-ci lui ait tout raconté. Sauf que les motivations et les méthodes divergent, et la jalousie de Miyu va atteindre des sommets d’égoïsme et de bêtise. Cela permet alors à Yume de se révéler courageuse -voire stupide- et profondément attachée à Momo. Un jolie fin tout en douceur, donc, et qui va enfin commencer à aborder les sous entendus de la romance entre Nanagi et Yume ! Bref, un petit tome à la hauteur du premier : surprenant lorsque l’on connait l’auteur, mais pas des plus splendides non plus. Trop de clichés, trop d’incohérences, trop de situations adaptées et arrangées pour satisfaire les desseins de l’auteur. On trouve cependant plus de maturité et de tendresse dans Momo que dans les autres œuvres de Mayu Sakai, et cette progression est lourdement appréciée. Sous une couverture assez tape à l’œil et une narration sucrée et stéréotypée, quelques bonnes surprises se glissent.


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
NiDNiM
14 20
Note de la rédaction
Note des lecteurs