Mademoiselle se marie Vol.7 : Critiques

C’est au tour de Setsuna de se préparer à se marier. Evidemment, il n’en a pas du tout envie puisque son seul amour c’est Towako, la seule fille qu’il aime. Sa sœur. Alors il lui fait ses adieux en bonne et due forme pour se préparer à quitter le foyer et aller épouser la jeune fille que ses parents lui proposent. Towako est profondément déprimée à l’idée de perdre son frère et elle cherche du réconfort dans les bras de son mari. Mais au-delà de ça, un problème crucial se pose à nos héros : Setsuna est destinée à une jeune fille qui en aime un autre, qui l’aime en retour. La petite troupe de nos héros ne peut se résoudre à accepter cet état de fait et il refuse totalement de voir la demoiselle se morfondre dans son chagrin d’amour. Ils organisent donc la fuite des deux amoureux, puis leur retour dans la famille de la demoiselle et l’acceptation de son tout nouvel amour. Tout est bien qui finit bien, Setsuna est libre à nouveau et son ancienne fiancée est heureuse … Mais peut-être pas pour très longtemps. On imagine sans mal que l’on entendra encore parler d’eux.

Et à force de réconforter Towako, Yûga pense forcément à aller plus loin. Sauf que la jeune fille a eu une éducation spéciale … Et qui dit coucher ensemble dit BEBE. Et ce serait soit disant l’unique but de « ça ». On a envie de se taper la tête contre les murs. Ce n’est pas possible qu’une lycéenne de cet âge ne sache pas ce qu’il en est. Même avec son éducation. Ce n’est même plus drôle comme situation, c’est juste pitoyable. Towako est ridicule, et sa mère aussi quand elle croit sur un malentendu que sa fille est enceinte. Elle envoie les amoureux sur une île de la fécondité alors qu’elle n’est pas enceinte … Bref, la seconde partie du manga part dans le gros n’importe quoi. On a envie de se tenir la tête entre les mains et de prier pour n’avoir rien lu. C’est juste ridicule, cette histoire de seigneur chien aggravant encore le cas de l’auteur … Un tome très décevant dans lequel il n’y a pas grand-chose à sauver.