Critique du volume manga
Publiée le Vendredi, 19 Février 2016
Nous voici déjà au quarantième tome de la série, un palier que peu de shonen atteignent et on se dit justement qu'Inu Yasha n'aurait peut être pas du viser celui-ci... Nous voici donc une énième fois avec un volet qui ne fait pas avancer la trame scénaristique, ou du moins que trop peu.
Au programme Inu Yasha affronte le forgeron du tome précédent pour une victoire non surprenante qui mènera notre héros à avoir une nouvelle arme, ou du moins une nouvelle technique pour son sabre. Comme vu dans le tome précédent celui-ci permet apparemment d'absorber les pouvoirs des ennemis, capacité qui risque d'être efficace surtout contre Mouriomaru. Suite à ça nous avons droit à un petit chapitre où Kagome et Inu Yasha rentrent dans le monde des humains. On est content pour le coup de retrouver ce milieu pour une séquence humoristique, mais quel dommage que l'auteure ne nous fasse qu'une succession de gags prévisibles, développer davantage la vie d'Inu Yasha dans le monde humain aurait pu être bien plus drôle et intéressant.
Et enfin nous terminons le tome avec une bonne partie consacrée à un affrontement contre un nouveau gros monstre. Sauf que là, c'est la fois de trop, tant la mise en scène est ridicule ! On a déjà eu cette scène 30 fois si ce n'est plus bon sang ! A quoi joue l'auteure et pourquoi se contente d'elle de nous resservir la même chose encore et toujours, surtout quand ça n'a strictement aucun intérêt ? Et bien sûr un autre nouveau méchant intervient, ici sous le nom de Byakuya, et on attend désormais avec humour qu'est ce que Rumiko Takahashi va bien nous proposer pour ce personnage qui ne transpire en aucun cas le charisme, son chara-design étant pompé sur tous les personnages que l'on a pu croiser auparavant.
Bref, un tome où il ne se passe rien pour ne pas changer les habitudes et qui pourrait même nous énerver tant on a l'impression que l'auteure se fout de nous. Il faut le dire : on s'ennuie ferme ! Et le pire, c'est que ça ne sera probablement pas la dernière fois...
Au programme Inu Yasha affronte le forgeron du tome précédent pour une victoire non surprenante qui mènera notre héros à avoir une nouvelle arme, ou du moins une nouvelle technique pour son sabre. Comme vu dans le tome précédent celui-ci permet apparemment d'absorber les pouvoirs des ennemis, capacité qui risque d'être efficace surtout contre Mouriomaru. Suite à ça nous avons droit à un petit chapitre où Kagome et Inu Yasha rentrent dans le monde des humains. On est content pour le coup de retrouver ce milieu pour une séquence humoristique, mais quel dommage que l'auteure ne nous fasse qu'une succession de gags prévisibles, développer davantage la vie d'Inu Yasha dans le monde humain aurait pu être bien plus drôle et intéressant.
Et enfin nous terminons le tome avec une bonne partie consacrée à un affrontement contre un nouveau gros monstre. Sauf que là, c'est la fois de trop, tant la mise en scène est ridicule ! On a déjà eu cette scène 30 fois si ce n'est plus bon sang ! A quoi joue l'auteure et pourquoi se contente d'elle de nous resservir la même chose encore et toujours, surtout quand ça n'a strictement aucun intérêt ? Et bien sûr un autre nouveau méchant intervient, ici sous le nom de Byakuya, et on attend désormais avec humour qu'est ce que Rumiko Takahashi va bien nous proposer pour ce personnage qui ne transpire en aucun cas le charisme, son chara-design étant pompé sur tous les personnages que l'on a pu croiser auparavant.
Bref, un tome où il ne se passe rien pour ne pas changer les habitudes et qui pourrait même nous énerver tant on a l'impression que l'auteure se fout de nous. Il faut le dire : on s'ennuie ferme ! Et le pire, c'est que ça ne sera probablement pas la dernière fois...