Critique du volume manga
Publiée le Mercredi, 10 Novembre 2021
A défaut de pouvoir quitter pour l'instant leur campagne paumée, on peut dire qu'au moins, Kasuya et Kuzuya se sont bien trouvés grâce à leur atypique passion commune pour la pénétration anale, une passion qui leur permet d'assouvir ensemble tout leur appétit sexuel et toute leurs perversions délurées. Et ainsi, la recette ne change pas fondamentalement dans ce deuxième volume qui, une nouvelle fois, se compose de passages plus ou moins indépendants et s'étalant sur un ou deux chapitres.
Dans certains, les deux hommes voient leur entourage s'enrichir de nouvelles têtes... enfin, "nouvelles" est un bien grand mot puisque, généralement, l'un ou l'autre les connaît. Et entre Tsubaki, l'ex sadique de Kasuya "à cause de" qui il avait été viré (et que Kuzuya ramasse ici dans une rizière), ou Kôma, un "plan-cul" de Kuzuya qui a un look à part (il s'est fait installer un porté-clé sur le téton pour être sûr de ne plus perdre ses clés, entre autres) ainsi que des fantasmes tout à fait à part sur l'ero guro, on peut dire que la mangaka Harada s'en donne encore à coeur joie pour proposer des personnages secondaires assez exubérants.
Et dans d'autres, nos deux héros pervers continuent leurs expérimentations en matière de sexe, en comptant plus que jamais sur l'étrange statue divine capable d'exaucer leurs voeux. Ainsi, un chapitre tournera à l'élevage d'une étrange bestiole à l'allure de mini-tentacule (appelez-là Takumi) et finalement bien plus intelligente que prévue, tandis qu'un autre verra nos héros tenter d'assouvir tous les fantasmes leur passant par la tête (temps qui s'arrête, femme pulpeuse x shota, vente aux enchères humaine, donjon érotique...), sauf que la divinité est on ne peut plus capricieuse.
Que ce soit via les nouveaux personnages truculents ou à travers la part fantastique, Harada s'en donne à coeur joie pour détourner pas mal de choses et pour proposer un flot d'érotisme cru et improbable ainsi qu'une avalanche d'humour idiot... mais ça ne l'empêche pas aussi d'esquisser aussi quelques petits approfondissement, que ce soit sur la défunte grand-mère de l'un de nos héros, ou sur la tentative de Kuzuya de dire ses 4 vérités au bourrin e benêt Léo. Même si, bien sûr, lesdits approfondissements ne vont jamais loin et sont surtout, eux aussi, vecteurs d'humour débile.
Ajoutons à ça la patte visuelle toujours aussi inspirée, et on obtient un tome 2 dans la droite lignée du premier, et où les situations se renouvellent sans difficulté.
Dans certains, les deux hommes voient leur entourage s'enrichir de nouvelles têtes... enfin, "nouvelles" est un bien grand mot puisque, généralement, l'un ou l'autre les connaît. Et entre Tsubaki, l'ex sadique de Kasuya "à cause de" qui il avait été viré (et que Kuzuya ramasse ici dans une rizière), ou Kôma, un "plan-cul" de Kuzuya qui a un look à part (il s'est fait installer un porté-clé sur le téton pour être sûr de ne plus perdre ses clés, entre autres) ainsi que des fantasmes tout à fait à part sur l'ero guro, on peut dire que la mangaka Harada s'en donne encore à coeur joie pour proposer des personnages secondaires assez exubérants.
Et dans d'autres, nos deux héros pervers continuent leurs expérimentations en matière de sexe, en comptant plus que jamais sur l'étrange statue divine capable d'exaucer leurs voeux. Ainsi, un chapitre tournera à l'élevage d'une étrange bestiole à l'allure de mini-tentacule (appelez-là Takumi) et finalement bien plus intelligente que prévue, tandis qu'un autre verra nos héros tenter d'assouvir tous les fantasmes leur passant par la tête (temps qui s'arrête, femme pulpeuse x shota, vente aux enchères humaine, donjon érotique...), sauf que la divinité est on ne peut plus capricieuse.
Que ce soit via les nouveaux personnages truculents ou à travers la part fantastique, Harada s'en donne à coeur joie pour détourner pas mal de choses et pour proposer un flot d'érotisme cru et improbable ainsi qu'une avalanche d'humour idiot... mais ça ne l'empêche pas aussi d'esquisser aussi quelques petits approfondissement, que ce soit sur la défunte grand-mère de l'un de nos héros, ou sur la tentative de Kuzuya de dire ses 4 vérités au bourrin e benêt Léo. Même si, bien sûr, lesdits approfondissements ne vont jamais loin et sont surtout, eux aussi, vecteurs d'humour débile.
Ajoutons à ça la patte visuelle toujours aussi inspirée, et on obtient un tome 2 dans la droite lignée du premier, et où les situations se renouvellent sans difficulté.
20/11/2023 