Critique du volume manga
Publiée le Mardi, 10 Août 2021
Le temps continue de passer agréablement, au rythme des saisons et de divers événements, au sein de la petite ville d'Aomori où nos héros vaquent encore et toujours à leurs occupations, entre le quotidien normal et les activités de sorcière de Makoto et des autres.
Cette fois-ci, Chihiro Ishizuka nous offre une neuvième volume assez marqué par les événements fantastiques venant animer la vie de tous les jours de nos personnages. Ainsi, quand une journaliste vient interviewer Inukai en tant que voyante, cette dernière devra faire attention à ne pas trop en dire sur les sorcières, mais tout risque de ne pas se passer comme prévu ! Quand une fête traditionnelle arrive dans la ville, l'occasion est idéale pour que Kazuno, un peu plus mise en avant ici, fasse découvrir à Chinatsu un univers qu'elle ne soupçonnait pas via les habitants des outres-mondes. Puis quand tout le monde se rend à la plage, la fillette a la bonne surprise de revoir Lapineau, avec qui son lien risque bien d'encore évoluer et se renforcer.
On le constate encore ici, l'évolution et l'apprentissage de Chinatsu en tant que sorcière aspirante reste un élément assez important, faisant partie des petits fils conducteurs plus globaux de la série. Mais comme toujours, la mangaka profite aussi d'autres chapitres pour narrer des petites scènes surnaturelles tout aussi plaisantes. On appréciera notamment l'arrivée d'une sorcière américaine, Shirley, venue observer la façon de vivre si particulières des mandragores de Makoto, pour un résultat aussi amusant que sympathique (ou un peu flippant) au vu de la manière dont les petites plantes déifient leur maîtresse ! De même, on passera un bon moment en observant Okada qui se retrouve à aider Hina, avec à la clé des petits détails jolis à observer sur leur relation.
Il n'y a pas forcément grand chose à dire de plus: simplement, Flying Witch suit son petit bonhomme de chemin en restant une lecture dépaysante. Le mariage entre la tranche de vie et le surnaturel reste toujours aussi agréable, les quelques brèves avancées des personnages (surtout Chinatsu) entretiennent le vague fil conducteur, l'atmosphère paisible et légère reste convaincante... A l'image d'autre tranches de vie comme Aria, Amanchu!, AU grand Air ou Escale à Yokohama, Flying Witch est une lecture qui continue de faire du bien dans l'ensemble. Et sur le plan éditorial, on appréciera le soin accordé aux petites explications sur le svastika (plutôt que de le censurer bêtement comme pourraient le faire certains autres éditeurs) qui apparaît sur une page.
Cette fois-ci, Chihiro Ishizuka nous offre une neuvième volume assez marqué par les événements fantastiques venant animer la vie de tous les jours de nos personnages. Ainsi, quand une journaliste vient interviewer Inukai en tant que voyante, cette dernière devra faire attention à ne pas trop en dire sur les sorcières, mais tout risque de ne pas se passer comme prévu ! Quand une fête traditionnelle arrive dans la ville, l'occasion est idéale pour que Kazuno, un peu plus mise en avant ici, fasse découvrir à Chinatsu un univers qu'elle ne soupçonnait pas via les habitants des outres-mondes. Puis quand tout le monde se rend à la plage, la fillette a la bonne surprise de revoir Lapineau, avec qui son lien risque bien d'encore évoluer et se renforcer.
On le constate encore ici, l'évolution et l'apprentissage de Chinatsu en tant que sorcière aspirante reste un élément assez important, faisant partie des petits fils conducteurs plus globaux de la série. Mais comme toujours, la mangaka profite aussi d'autres chapitres pour narrer des petites scènes surnaturelles tout aussi plaisantes. On appréciera notamment l'arrivée d'une sorcière américaine, Shirley, venue observer la façon de vivre si particulières des mandragores de Makoto, pour un résultat aussi amusant que sympathique (ou un peu flippant) au vu de la manière dont les petites plantes déifient leur maîtresse ! De même, on passera un bon moment en observant Okada qui se retrouve à aider Hina, avec à la clé des petits détails jolis à observer sur leur relation.
Il n'y a pas forcément grand chose à dire de plus: simplement, Flying Witch suit son petit bonhomme de chemin en restant une lecture dépaysante. Le mariage entre la tranche de vie et le surnaturel reste toujours aussi agréable, les quelques brèves avancées des personnages (surtout Chinatsu) entretiennent le vague fil conducteur, l'atmosphère paisible et légère reste convaincante... A l'image d'autre tranches de vie comme Aria, Amanchu!, AU grand Air ou Escale à Yokohama, Flying Witch est une lecture qui continue de faire du bien dans l'ensemble. Et sur le plan éditorial, on appréciera le soin accordé aux petites explications sur le svastika (plutôt que de le censurer bêtement comme pourraient le faire certains autres éditeurs) qui apparaît sur une page.