Critique du volume manga
Publiée le Lundi, 21 Janvier 2019
Le labo est détruit, les têtes remplies par les malheurs qui s’enchaînent à cause d’un homme qui est plus déterminé que jamais par son ambition de conquérir le monde. Momiji est la clé. Elle qui repasse dans les mains de Kagerô et de son équipe, va vite être impactée par d’autres ennuis…
Mais pour l’instant, la personne la plus intéressante ici est la petite nouvelle, Terra. Collée à Kagerô, Momiji admire le spectacle, commence à se sentir exclue et s’énerve sérieusement. Elle ne peut que haïr cette fille qui ose s’approcher de son copain, en plus qu’elle sent comme une espèce de mauvaise personne, une face cachée derrière se visage d’enfant. Même pas le temps de se poser plus de questions que l’ennemi est déjà de retour !
Plus redoutable qu’avant, de grands moyens s’imposent. Mais qui dit grands moyens, dit également grandes scènes qui suivent avec. Et on peut dire que Yûichi Katô met à l’honneur son talent du coup de crayon pour nous livrer de telles surprises. On à l’impression qu’ici, dans ce troisième volume, que le dessin a finement été plus travaillé. Il donne un très bon rendu.
Le scénario lui, se corse. La tension monte et les affrontements règnent. Les survivants sont plus souvent à la limite de mourir car les batailles sont dures. On ne manquera pas de voir notre équipe frôlée la mort à plusieurs reprises. Sur un temps assez court, les blessures se donnent à cœur joie, les personnages affaiblis par les événements souffrent pour espérer un jour retrouver le bonheur perdu.
C’est là que l’auteur intervient pour nous faire dériver de notre avis pour la fin. Ne sachant pas réellement s’il tient à rendre l’œuvre chaotique ou bien à la finir sur une bonne fin, il fait en sorte que nous nous perdons entre les deux hypothèses. Pas mal jouer car maintenant, on peut s’attendre à tout pour constater que l’avenir de la Terre est entre les mains du mangaka.
Bien entendu, ce qui retient le plus notre attention va être l’évolution de Kagerô. Au centre de l’attention, il s’entraîne, combat et devient de plus en plus fort. Le face à face contre l’organisation ne lui fait pas peur, il est prêt à perdre sa vie pour celle qu’il aime et se surpassera.Une force inconditionnelle se réveille suite à de nombreuses peines enfuies et il explose. Explose de vitalité dans un seul but, rétablir le passé qu’il a connu.
Pour le reste, la trame avance rapidement, même trop rapidement, comme si le mangaka avait hâte de terminer son histoire. Déjà qu’elle se résume en cinq tomes et qu’elle est donc plutôt courte, pourquoi faut-il qu’il enchaîne les scènes de combats, de renversement de situation alors qu’il aurait pu mettre moins de mouvement pour plus travaillé l’instant présent ? Ainsi l’auteur incruste de nouvelles têtes, en fait mourir d’autres… On s’y perd un peu !
Mais pour l’instant, la personne la plus intéressante ici est la petite nouvelle, Terra. Collée à Kagerô, Momiji admire le spectacle, commence à se sentir exclue et s’énerve sérieusement. Elle ne peut que haïr cette fille qui ose s’approcher de son copain, en plus qu’elle sent comme une espèce de mauvaise personne, une face cachée derrière se visage d’enfant. Même pas le temps de se poser plus de questions que l’ennemi est déjà de retour !
Plus redoutable qu’avant, de grands moyens s’imposent. Mais qui dit grands moyens, dit également grandes scènes qui suivent avec. Et on peut dire que Yûichi Katô met à l’honneur son talent du coup de crayon pour nous livrer de telles surprises. On à l’impression qu’ici, dans ce troisième volume, que le dessin a finement été plus travaillé. Il donne un très bon rendu.
Le scénario lui, se corse. La tension monte et les affrontements règnent. Les survivants sont plus souvent à la limite de mourir car les batailles sont dures. On ne manquera pas de voir notre équipe frôlée la mort à plusieurs reprises. Sur un temps assez court, les blessures se donnent à cœur joie, les personnages affaiblis par les événements souffrent pour espérer un jour retrouver le bonheur perdu.
C’est là que l’auteur intervient pour nous faire dériver de notre avis pour la fin. Ne sachant pas réellement s’il tient à rendre l’œuvre chaotique ou bien à la finir sur une bonne fin, il fait en sorte que nous nous perdons entre les deux hypothèses. Pas mal jouer car maintenant, on peut s’attendre à tout pour constater que l’avenir de la Terre est entre les mains du mangaka.
Bien entendu, ce qui retient le plus notre attention va être l’évolution de Kagerô. Au centre de l’attention, il s’entraîne, combat et devient de plus en plus fort. Le face à face contre l’organisation ne lui fait pas peur, il est prêt à perdre sa vie pour celle qu’il aime et se surpassera.Une force inconditionnelle se réveille suite à de nombreuses peines enfuies et il explose. Explose de vitalité dans un seul but, rétablir le passé qu’il a connu.
Pour le reste, la trame avance rapidement, même trop rapidement, comme si le mangaka avait hâte de terminer son histoire. Déjà qu’elle se résume en cinq tomes et qu’elle est donc plutôt courte, pourquoi faut-il qu’il enchaîne les scènes de combats, de renversement de situation alors qu’il aurait pu mettre moins de mouvement pour plus travaillé l’instant présent ? Ainsi l’auteur incruste de nouvelles têtes, en fait mourir d’autres… On s’y perd un peu !
06/09/2017 