Critique du volume manga
Publiée le Vendredi, 18 Février 2022
C'est avec stupéfaction que Rukul vient d'assister à un phénomène impensable, dès lors que Stella, le petite dragon jaune accompagnant Adel, a pris les traits d'une fillette humaine ! Comment cela est-il possible ? Est-elle dragon ou humaine à la base ? Et pourquoi donc Adel a tu cette vérité à nos héros ? Pour comprendre tout ça, Julius, Rukul et les aînés n'ont pas d'autre solution que de confronter Adel à ses propres cachotteries...
Ainsi l'heure est-elle venue, dans la première partie de cet avant-dernier tome, de mieux se centrer sur Adel, jeune homme plutôt ambigu depuis son apparition, quand bien même il ne semble pas vraiment méchant. Alors, qu'en est-il ? A travers des révélations sur son passé, on découvre un enfant qui se sentait différent et bizarre, qui n'arrivait pas à s'intégrer, qui craignait de trop inquiéter sa mère, jusqu'à ce qu'une rencontre avec un dragon parlant change en profondeur sa vision des choses et, par la même occasion, son destin. Mais ce destin, de par un itnérêt scientifique trop prononcé pour les dragons, a fini par prendre un tournant dramatique qu'Adel ne souhaitait pas au départ, le tout se cristallisant alors en un personnage, Stella. Le lien entre Adel et Stella se révèle alors plus délicat qu'il n'y paraissait, entre un jeune homme ayant compris ses erreurs et souhaitant se faire pardonner en veillant sincère sur sa protégée, et une Stella conservant des traumatismes au point de ne pas encore pouvoir faire totalement confiance en cet humain qui l'a autrefois faite souffrir. Pour consolider enfin la relation entre ces deux être, quelques petits dangers ne seront alors pas de trop, même si lesdits dangers sont très vite vus. En revanche, on adorera assurément le caractère enfantin et innocent d'une Stella à qui on s'attache vraiment facilement !
Ce développement du duo Adel/Stella ne fait, en plus, que remettre sur le devant l'un des sujets-clés du récit: les relations entre humain et dragon sont-elles possibles, que celles-ci soient amicale ou plus encore ? Julius, de son côté, s'interroge sur la possibilité ou pas de conserver intacte sa relation avec Rukul, d'autant plus que ses sentiments pour elle semblent toujours plus se renforcer... Et c'est à ce moment prévis qu'intervient un nouveau bouleversement, où c'est tout bonnement le trône royal qui risque d'être usurpé ! Par qui ? Pour quoi ? On le découvrira bien assez vite. Et même si, une nouvelle fois, le déroulement reste un peu simple, à l'arrivée Shiki Chitose relance de plus belle la question des relations humain/dragon à travers les deux nouveaux personnages de ce volume.
Qui plus est, ces événements accentuent de plus belle certaines enjeux autour de Julius, de sa malédiction, du fait qu'il n'ose pas avouer la vérité à son peuple... Pour quelles conséquences ? Il faudra attendre l'ultime opus pour découvrir le fin mot de tout ceci. En tout cas, ici, Les Chroniques d'Azfaréo reste un petit shôjo de fantasy suffisamment bien mené pour nous donner envie d'en découvrir la chute.
Ainsi l'heure est-elle venue, dans la première partie de cet avant-dernier tome, de mieux se centrer sur Adel, jeune homme plutôt ambigu depuis son apparition, quand bien même il ne semble pas vraiment méchant. Alors, qu'en est-il ? A travers des révélations sur son passé, on découvre un enfant qui se sentait différent et bizarre, qui n'arrivait pas à s'intégrer, qui craignait de trop inquiéter sa mère, jusqu'à ce qu'une rencontre avec un dragon parlant change en profondeur sa vision des choses et, par la même occasion, son destin. Mais ce destin, de par un itnérêt scientifique trop prononcé pour les dragons, a fini par prendre un tournant dramatique qu'Adel ne souhaitait pas au départ, le tout se cristallisant alors en un personnage, Stella. Le lien entre Adel et Stella se révèle alors plus délicat qu'il n'y paraissait, entre un jeune homme ayant compris ses erreurs et souhaitant se faire pardonner en veillant sincère sur sa protégée, et une Stella conservant des traumatismes au point de ne pas encore pouvoir faire totalement confiance en cet humain qui l'a autrefois faite souffrir. Pour consolider enfin la relation entre ces deux être, quelques petits dangers ne seront alors pas de trop, même si lesdits dangers sont très vite vus. En revanche, on adorera assurément le caractère enfantin et innocent d'une Stella à qui on s'attache vraiment facilement !
Ce développement du duo Adel/Stella ne fait, en plus, que remettre sur le devant l'un des sujets-clés du récit: les relations entre humain et dragon sont-elles possibles, que celles-ci soient amicale ou plus encore ? Julius, de son côté, s'interroge sur la possibilité ou pas de conserver intacte sa relation avec Rukul, d'autant plus que ses sentiments pour elle semblent toujours plus se renforcer... Et c'est à ce moment prévis qu'intervient un nouveau bouleversement, où c'est tout bonnement le trône royal qui risque d'être usurpé ! Par qui ? Pour quoi ? On le découvrira bien assez vite. Et même si, une nouvelle fois, le déroulement reste un peu simple, à l'arrivée Shiki Chitose relance de plus belle la question des relations humain/dragon à travers les deux nouveaux personnages de ce volume.
Qui plus est, ces événements accentuent de plus belle certaines enjeux autour de Julius, de sa malédiction, du fait qu'il n'ose pas avouer la vérité à son peuple... Pour quelles conséquences ? Il faudra attendre l'ultime opus pour découvrir le fin mot de tout ceci. En tout cas, ici, Les Chroniques d'Azfaréo reste un petit shôjo de fantasy suffisamment bien mené pour nous donner envie d'en découvrir la chute.