Critique du volume manga
Publiée le Vendredi, 08 Février 2019
« J'angoisse à l'idée... qu'il me rejette... »
Nishina est passé à l'action pour de bon et a avoué son amour à Shizuku. Celle-ci lui rappelle qu'elle a déjà un petit ami dont elle est amoureuse, mais le jeune homme ne se laisse pas démonter et lui demande de réfléchir sérieusement à lui. Shizuku ne sait plus quoi penser mais d'autres problèmes l'attendent : alors qu'elle est enfin invitée chez les Yagami, Mio arrive et insiste pour que Kaede se fasse passer pour son petit-ami. Elle espère ainsi calmer les rumeurs qui courent à son sujet.
« Je n'ai pas du tout envie, en fait... Mais... »
Shizuku prend sur elle, elle n'arrive pas à s'affirmer, encore moins devant tant d'insistance... tout comme elle n'a pas osé parler à Kaede de la déclaration de Nishina. Toutefois ce manque de confiance et d'assurance va se retourner contre elle puisque Kaede, n'ayant évidemment pas accès à ses pensées, interprète mal ses réactions et décisions. Des tensions se créent et Nishina n'aide pas en s'interposant. Notre pauvre Shizuku est totalement perdue : « J'ai fait une erreur quelque part ? Je n'y comprends rien ! ». La mangaka illustre très bien ici la frustration et l'angoisse que l'on peut ressentir quand on arrive pas à se faire comprendre par l'être aimé.
Après la déclaration en bonne et due forme de Nishina à la fin du tome précédant, Saki Aikawa nous livre quelques bribes du passé de cet ami d'enfance pour nous aider à mieux le cerner et à comprendre comment il en est arrivé à éprouver ces sentiments et à agir de la sorte. C'est vraiment appréciable, car ça replace dans le contexte un personnage qui semblait sorti de nulle part. Il a dorénavant plus de poids et d'épaisseur. « Dans un an... on sera dans la même école. Je lui demanderai alors... de sortir avec moi ! » : son passage à l'acte très soudain devient donc tout à fait cohérent.
Nishina est passé à l'action pour de bon et a avoué son amour à Shizuku. Celle-ci lui rappelle qu'elle a déjà un petit ami dont elle est amoureuse, mais le jeune homme ne se laisse pas démonter et lui demande de réfléchir sérieusement à lui. Shizuku ne sait plus quoi penser mais d'autres problèmes l'attendent : alors qu'elle est enfin invitée chez les Yagami, Mio arrive et insiste pour que Kaede se fasse passer pour son petit-ami. Elle espère ainsi calmer les rumeurs qui courent à son sujet.
« Je n'ai pas du tout envie, en fait... Mais... »
Shizuku prend sur elle, elle n'arrive pas à s'affirmer, encore moins devant tant d'insistance... tout comme elle n'a pas osé parler à Kaede de la déclaration de Nishina. Toutefois ce manque de confiance et d'assurance va se retourner contre elle puisque Kaede, n'ayant évidemment pas accès à ses pensées, interprète mal ses réactions et décisions. Des tensions se créent et Nishina n'aide pas en s'interposant. Notre pauvre Shizuku est totalement perdue : « J'ai fait une erreur quelque part ? Je n'y comprends rien ! ». La mangaka illustre très bien ici la frustration et l'angoisse que l'on peut ressentir quand on arrive pas à se faire comprendre par l'être aimé.
Après la déclaration en bonne et due forme de Nishina à la fin du tome précédant, Saki Aikawa nous livre quelques bribes du passé de cet ami d'enfance pour nous aider à mieux le cerner et à comprendre comment il en est arrivé à éprouver ces sentiments et à agir de la sorte. C'est vraiment appréciable, car ça replace dans le contexte un personnage qui semblait sorti de nulle part. Il a dorénavant plus de poids et d'épaisseur. « Dans un an... on sera dans la même école. Je lui demanderai alors... de sortir avec moi ! » : son passage à l'acte très soudain devient donc tout à fait cohérent.
Ce volume est bien construit et rattrape les faiblesses du tome précédant. La mangaka reprend le fil de son histoire, nous offre des précisions bienvenues, on rebondit sur les suspicions du frère de Shizuku qui pense que Kaede la trompe... Ce septième tome, axé majoritairement sur la psychologie de l'héroïne, remonte le niveau de la série malgré l'utilisation de clichés du genre.
29/01/2020 