Critique du volume manga
Publiée le Mardi, 07 Juin 2011
Après la fin de la grande saga, dur dur de tenir encore deux tomes pour le simple plaisir des histoires annexes. Et pourtant, c’est passionnant. Mais rien que de repenser à la fin officielle de Basara et voilà que l’émotion revient dans le même temps. Mais pour s’en débarrasser et ne pas aller pleurer dans l’oreiller le plus proche ... flash-back ! Dans un premier temps, l’enfance et l’adolescence des deux amis très proches que sont Hijiri et Nachi, alors que les aventures venaient déjà les cueillir dès leur plus jeune âge. Que ce soit au bord d’un bateau ou face à l’amour, c’est du pareil au même ... Puis quelques pages sur Asagi se glissent dans notre lecture, très simplement. Ces deux interludes, au contraire du précédent dans le tome 25, n’apportent pas grand-chose aux personnages tels qu’on peut les connaitre. On attend un peu mieux dans l’exploitation des héros ou protagonistes secondaires que l’on a si longtemps suivi dans ce merveilleux shojo !
Et en seconde partie, l’auteur va partir sur une toute autre idée : celle de nous raconter comment les quatre sabres de Basara ont voyagés, qui sera allés les chercher avant ceux que l’on connait. Une centaine d’années avant Shuri et Sarasa, rien n’est si différent. Une jeune fille intrépide décide de tenir tête aux hommes pour s’imposer et trouver sa place, dans les combats comme en amour. Mais il n’est pas toujours facile d’être égoïste et de vouloir suivre la pureté de son cœur, car bien d’autres sont blessés en retour. Cette histoire est, elle, très intéressante car en rapport avec l’histoire principale tout en étant totalement novatrice. Puis viennent les interludes de l’auteur, beaucoup plus difficiles à lire et à comprendre, à réserver aux véritables fans tant elle explique des détails et des anecdotes. Un volume qui fait brutalement redescendre le niveau, bien qu’il n’ait pu en être autrement ...