Ayashi no ceres Vol.7 - Actualité manga

Ayashi no ceres Vol.7 : Critiques

Ayashi no ceres

Critique du volume manga

Publiée le Mardi, 14 Juillet 2009

Alors qu’Aya et son soupirant allaient enfin concrétiser leur amour, Chidori débarque pour annoncer à la nymphe leur départ imminent pour Tokyo. Pendant ce temps, Toya doit affronter les foudres de Wei, mais le combat tourne rapidement court, parce que Mlle Aya ne comprend pas qu’en temps de guerre déclarée, tuer des gens devient une nécessité, au moins dans la fiction. C’est vrai, ça, à force la mort d’un personnage émeut bien plus qu’un discours moralisateur : Aya n’a rien compris aux attentes des lecteurs ! Une fois arrivée à Tokyo, la petite troupe intègre l’établissement scolaire dont l’uniforme scolaire correspond à celui du rêve d’Aya. Pour combler le besoin d’humour, on déguise Yuhi en fille, et le scénario retombe. Malgré l’intérêt insufflé dans cette histoire de nymphe et de chien blanc, Watase réussit une fois de plus l’exploit de gâcher ses bonnes initiatives.

Hirobé, un « gène C » est une jeune fille complexe et torturée, on ne peut qu’apprécier le fait de suivre durant quelques pages son histoire, sa vision de la vie, ses regrets et ses hontes. Malheureusement, ce court intermède ne nous divertit pas bien longtemps, et la petite troupe repart sur les traces de la robe de plume, sans grands résultats. Mais finalement, on s’en fiche, puisque Toya prend enfin contact avec celle qui l’attend depuis qu’il l’a quittée. Cet idiot a pris à la lettre les remontrances d’Aya, et c’est donc un héros ensanglanté que la jeune fille retrouve, ouvrant les bras pour enfin accueillir les étreintes de ce jeune homme tant aimé. Mais bien évidemment, ce bonheur éphémère ne dure pas : et, lorsque Watase est en manque d’idées pour l’intrigue principale, il lui suffit de rajouter des obstacles dans la relation amoureuse des héros. Les souvenirs de Toya remontent, et cela pourrait bien avoir des répercussions dramatiques sur leur idylle provisoire. Au final, voilà un tome amusant de naïveté et de sentiments sucrés. Rien de bien folichon …


NiDNiM


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
NiDNiM
13 20
Note de la rédaction
Note des lecteurs