Critique du volume manga
Publiée le Mercredi, 18 Mai 2011
Fin de l’épisode Mlle Kujo pour nos deux tourtereaux, du moins quand Seri se sera débarrassée d’elle d’un bon coup de pied retourné tandis que Tamaki était en train de se faire presque violé après avoir ingurgité un paralysant ! Heureusement, le petit couple est sauf et malgré l’incident des photos tout semble redevenir normal, d’autant que Kujo la grosse psychopathe devient tout à coup gentille et obéissante et démissionne. On y croit. Deuxième épisode, nouvel ennemi. Il faut bien que l’auteur trouve de nouvelles figures à utiliser, bien que ce soit toujours et exclusivement sans le même but : tenter de les séparer. On s’en prend beaucoup à Seri, quand c’est un individu de sexe masculin comme c’est le cas dans la suite du volume on en profite pour caser une petite tentative de viol ... Mais on reste copains, hein ? Parce que le monde de Kanan Minami c’est tout rose, tout le monde s’aime, et après tout Seri oublie tout dès que son Tamaki chéri s’occupe d’elle à n’importe quel endroit, comme un animal en rut. Donc après le viol qui n’a finalement eu lieu qu’à moitié sans déconcerter notre héroïne un seul instant ... Nouveau chapitre !
Et oui, encore du nouveau dans ce troisième tome qui enchaine les problèmes, les ennemis psychopathes et les parties de jambes en l’air avec une célérité impressionnante. Maintenant, c’est la séparation des deux amoureux par le lycée ! Alors Seri se met à travailler et si elle est nulle en maths, en une nuit elle rattrape son retard jusqu’à un niveau qu’on voit en France en terminale S. Normal, la force de l’amuuuuuuuuuuuur. Enfin, vu les méthodes d’apprentissage de Tamaki on doute un peu de ces progrès, mais admettons. Le meilleure reste à venir encore, avec A NOUVEAU un nouveau méchant diabolique qui n’a pour unique but dans la vie que de séparer Tamaki et Seri, qui n’arriveront jamais à avoir un tome tranquille. C’est fou le nombre de mecs avec des envies de viols ou des profs à l’esprit tordu et dérangé, quand même. Bref, vous l’aurez compris ce tome est d’un ridicule profond, et c’est dans ces circonstances là qu’on pourrait dire « mieux vaut en rire ... ».