Critique du volume manga
Publiée le Lundi, 04 Février 2019
Après une telle déclaration, difficile de s’en remettre. Aki n’est désormais plus disponible pour Tsubasa qui voit tous son monde s’effondrer devant elle. Tracassée, pensive, elle n’est plus aussi pétillante que d’habitude. Le seul qui est là est Toba, lui qui ne cesse jamais de dire qu’il est amoureux d’elle va y tirer du profit car un rapprochement s’opère entre les deux… Mais pas le temps de penser à ça, la fête de l’école arrive à grand pas !
Nous avons là une manager qui perd le fil de ses habitudes. Depuis qu’Hina a rejoint le club, plus rien ne se passe comme Sonokawa l’espère. Entre sa cadette qui lui vole Aki et le fait de les voir tout le temps collés l’un à l’autre, il est temps que notre protagoniste pend ses distances. Elle fuit Aki pour un petit moment, le temps de digérer ce qui lui arrive. Et pour le faire, elle va littéralement se malmener avec comme excuse la fête des sports du lycée où elle rend la tête avec Toba pour la gestion. Un rôle qui va lui coûter des heures de travaille intenses, une coupure avec les entraînements des basket et un mal être de plus en plus présent.
Le tempo se resserre clairement dans ce tome là. La vie sentimentale de nos héros devient de plus en plus compliquée mais l’effet attendu par l’auteure n’est peu être pas celui qui est espérer… Certes, les péripéties s’enchaînent et l’engrenage de celles ci sont parfaitement maîtrisées, mais à la longue, nous commençons vraiment à nous lasser. Nous sommes au huitième tome et pour l’instant, toujours aucune trace d’une histoire sentimentale ni avec Aki, ni avec Toba ! Même avec l’ultimatum poser au milieu du volume, nous croyons que l’histoire allait enfin prendre une nouvelle direction, mais au final la question est simplement bâclée. C’est franchement dommage pour une histoire qui à énormément de potentiel d’ainsi rester autant fermée.
Nous avons là une manager qui perd le fil de ses habitudes. Depuis qu’Hina a rejoint le club, plus rien ne se passe comme Sonokawa l’espère. Entre sa cadette qui lui vole Aki et le fait de les voir tout le temps collés l’un à l’autre, il est temps que notre protagoniste pend ses distances. Elle fuit Aki pour un petit moment, le temps de digérer ce qui lui arrive. Et pour le faire, elle va littéralement se malmener avec comme excuse la fête des sports du lycée où elle rend la tête avec Toba pour la gestion. Un rôle qui va lui coûter des heures de travaille intenses, une coupure avec les entraînements des basket et un mal être de plus en plus présent.
Le tempo se resserre clairement dans ce tome là. La vie sentimentale de nos héros devient de plus en plus compliquée mais l’effet attendu par l’auteure n’est peu être pas celui qui est espérer… Certes, les péripéties s’enchaînent et l’engrenage de celles ci sont parfaitement maîtrisées, mais à la longue, nous commençons vraiment à nous lasser. Nous sommes au huitième tome et pour l’instant, toujours aucune trace d’une histoire sentimentale ni avec Aki, ni avec Toba ! Même avec l’ultimatum poser au milieu du volume, nous croyons que l’histoire allait enfin prendre une nouvelle direction, mais au final la question est simplement bâclée. C’est franchement dommage pour une histoire qui à énormément de potentiel d’ainsi rester autant fermée.
En somme, le tome sort plutôt décevant. Sachant qu’on est déjà à la fin du huitième et que pour l’instant la série est mise en attente par Panini après le neuvième tome, nous nous posons d’énormes questions sur la suite. Difficile d’imaginer que Nana Haruta arrive à monter la barre en une seul tome mais cela serait encore pire si on s’arrête sur une mauvaise note au prochain. En plus de ça, la série se termine sous peu avec 11 tomes au total, alors pourquoi nous laisser dans une telle situation ?
30/09/2020 
