une véritable descente au enfer, on suit l'avancer de notre groupe du Hikari Club qui petit à petit bien que les personnages étaient déjà bien cinglé sombre dans la folie. Malsain gore et glauque certains passages sont même difficile à lire tellement ils sont déguelasse !
Un one shot magnifique. D'habitude je fini les mangas en 20 minutes maximum mais la c'est un gros pavé. Une ambiance gore et malsaine très bien menée. Les scennes d'amour et de torture sont jusifiés, ce n'est pas de la violence pour la violence. En bref, un chef d'oeuvre!
Ce manga envoie du lourd! L'histoire est de loin la plus malsaine qu'il m'ait été donné de lire. Les personnages sont glauques au possible, les dessins sombres et beaux à la fois. Bref, je recommande vivement. Âmes sensibles s'abstenir !
Le style est élégant du début à la fin, même dans les scènes dures. On se plait à suivre l’évolution de Litchi aux côtés de la mystérieuse Kanon. La paranoïa, le désir, la destruction, la vengeance, l’amour, la trahison, tout cela fait naître un plaisir immense. Une douce torture.
J'avais prévu depuis longtemps de m'attaquer à Furuya, j'ai choisi de commencer par Litchi Hikari Club en raison de la notation attribuée par Manga News.
C'est donc l'histoire de 9 jeunes hommes formant ce qui a tout d'une secte, dont le but est...de s’approprier une fille. Chacun à un rôle dans cette petite organisation et après avoir fabriqué un robot créé pour capturer une fille, le but est atteint et c'est à partir de là que l'Hikari Club se retrouve plongé dans le chaos.
Si on prend un immense plaisir à cette lecture, et ce du début à la fin, on notera malheureusement quelques incohérences : le plus gros défaut de l’œuvre réside dans un manque de développement des personnages, comment des collégiens ont il pu en arriver à de tels extrémités ? Des flash-back auraient étés les bienvenues pour apporter quelques explications (on aurait également apprécié des détails sur le but premier de l'Hikari club). On se demande également comment des garçons peuvent avoir une connaissance si faible de la femme, même dans un lycée où la gente féminine est absente. Malgré ces quelques défauts, l'intrigue est si bien gérée que l'on se plonge dans l’œuvre en se laissant emporter par le trait sombre, mais soigné. Le dénouement tant attendu, bien qu'assez prévisible, clos l'ouvrage avec brio.
L'édition est de très bonne qualité. Nul doute que je ferais à nouveau affaire avec Furuya comme avec Imho.
Acheté suite aux avis positifs de Jojo et Koiwai, et je dois dire que je ne regrette pas mon achat !
Le tome est épais, c'est déjà bon signe, ça fait de la lecture, et on en a pour son argent, au moins (pas comme un certain Kana sortit récemment). Le ton est donné dès les premières pages. Une ambiance sombre, glauque et malsaine. Et l'on est jeté dedans sans préavis, comme le pauvre garçon qui se fera torturer sous nos yeux, et la pauvre professeur suivra. On assiste à la réunion d'un club des plus bizarres, géré par un chef légèrement dérangé, mais le reste de l'équipe n'est pas en reste, niveau folie.
"Nos entrailles sont bien plus belles !" C'est ce que vous dites, mais ne vous inquiétez pas, on aura la réponse en fin de tome !
Passé ce chapitre de présentation, on fait face au réveil de Litchi, la machine humanoïde créée dans le but ultime d'amener une fille, parfaite, raffinée et surtout, pure, dans l'Hikari Club. Le tout en développant la psychologie instable des protagoniste, que ce soit Nico, Jaïbo ou Zéra, tous ont un grain de folie. Et la trahison annoncé, lors d'une scène à l'aspect biblique prononcé, vient renforcer l'aura de Zéra.
Même Kanon, que l'on découvre une fois embarquée par Litchi, n'est pas totalement saine d'esprit. Enfermée là comme une sainte relique, elle tisse une étrange romance avec son geôlier, qui n'est qu'une machine, et pourtant paraîtra bien plus humains que les autres...
Parmi les nombreux personnages, certains restent assez effacé, surtout face à d'autres, bien plus charismatiques. Ainsi, Daf et Jacob, entre autres, ne m'ont pas laissé de grands souvenirs... C'est dommage, mais peut-être que le prequel corrigera cette erreur.
Quant à la fin, elle apporte sont lot de révélations. L'identité du traître, qui survivra à l'horreur sanglante qui se déverse sur l'Hikari Club et, surtout, c'est essentiel, qui a les plus belles entrailles.
Bref, un bon one-shot, quoique finalement un peu court, puisqu'il aurait gagné à développer certains personnages secondaires.
Urasamu Furuya est au manga ce que Gregg Araki est au cinéma. Hormis le fait que ce sont deux personnes qui ne se ressemblent vraiment pas et qui sont a l’extrémité l’une de l’autre, ces deux personnes ont un point commun : celui de savoir combiner plusieurs thèmes pour donner au final une œuvre ou des œuvres abouties. Gregg Araki portant ses films sur la sexualité et sur la fin du monde (Kaboom/The Doom Generation entre autres), Urasamu Furuya combine lui aussi plusieurs thèmes reconnaissables tout au long de la lecture, a savoir l’homosexualité, la trahison, voir même la religion. Et ces deux auteurs parviennent également a nous mettre une fin qui nous laisse sur le cul. Il suffit de voir les quinze dernières minutes de Kaboom, voir même le film dans sa totalité pour se dire que le cinéaste est vraiment une personne a part et que ses films sont a double tranchant. Soit ça passe ou soit ça casse.
C’est exactement le même constat pour Litchi Hikari Club. Mais qu’est-ce Litchi Hikari Club au bout du compte? Une descente aux enfers de 320 pages menée tambour batant et cloturée de main de maitre par Furuya. Coups de sifflets, lampes torches éclairant un espace lugubre, des pas s’intensifiant de plus en plus et vous voila embarqué. Tout commence de manière très « gentille », une sorte de petite introduction permettant au lecteur de s’imprégner de l’ambiance de l’œuvre. Introduction qui permet également de faire connaissance avec quasiment tous les personnages, qu’ils soient principaux ou secondaires. Le personnage central est évidemment Zéra, le chef, celui qui dirige tout dans le petit groupe composé de neufs garçons. Petit groupe qui se nomme l’Hikari Club, véritable secte, ayant pour objectif de capturer la plus belle fille qui soit et de régner sur le Monde (rien que ça!) On aura beau dire qu‘il faut avoir de l‘ambition d‘en la vie pour y arriver, mais en étant trop gourmand, on peut chuter de très haut... Mais comment la capturer au juste cette fille? Je vous laisse le plaisir de le découvrir. Au sein de ce petit groupe donc, c’est Zéra le meneur, celui qui dirige toutes les opérations. Secondé par Tamiya et Jaïbo, Zéra est une personne de déterminée, qui sait ce qu’elle veut et qui va droit au but. N’hésitant même pas a avertir ses comparses de ce qu’ils pourraient endurer si jamais celui-ci se serait fait avoir. C’est donc quelqu’un de prévoyant, de calculateur, sûr de lui. La confiance est donc de mise, mais elle est très fragile au sein de l’Hikari Club. Il suffirait juste d’une petite erreur pour que le château de cartes s’écroule. Mais Zera est une personne très idéologique, ayant ses convictions et n’hésitant pas a les faire transmettre a ses congénères pour pouvoir bâtir un nouveau Monde dont il serait l’unique pilier, celui sur lequel tout reposerait.
Furuya nous offre donc avec Litchi Hikari Club, une descente vertigineuse et violente qui monte crescendo tout au long des 320 pages pour ensuite finir par une véritable hécatombe, une tragédie qui prend le lecteur au tripes. Un coup de théâtre, puis un autre… Tout cela pour se terminer avec un véritable éclair qui s’abat sur le lecteur, dont le cœur bat a cent a l’heure. Le coup de crayon de Furuya est excellent et retranscrit parfaitement l’ambiance de l’œuvre. L’édition d’Imho est bonne, je pourrais reprocher quelques bavures lors du premier chapitre mais cela ne gâche en aucunement la plaisir de lecture. Certains points auraient mérités d’être approfondis et j’espère qu’ils le seront dans le préquel, préquel que j’attends avec une impatience non dissimulée. Reste une préface indispensable et très intéressante a lire absolument pour connaitre toutes les subtilités de l’œuvre.
Au final, Litchi Hikari Club est un one-shot d’une qualitée magistrale avec un scénario et une ambiance… exceptionnelles! Certainement un grand favori pour le prochain tournoi Seinen et mon gros coup de cœur pour cette année! Vous l’aurez compris, c’est donc un one-shot a posséder. Ne vous laissez pas abattre par le prix de celui-ci, il les vaux!
Quand Usamaru Furuya se prend pour Suehiro Maruo, cela donne Litchi Hikari Club.
Le début du récit à eu du mal à me convaincre. Présentation un peu molle, plusieurs personnages qui peinent à se démarquer, quelques incohérences (on tue des gens et tout le monde semble s'en foutre), mais à partir du moment om les choses démarrent réellement, Furuya montre qu'il est capable d'aller très loin et excelle dans la représentation de cette longue chute du Litchi Hikari Club. Certains protagonistes finissent par devenir plus convaincants et plus présents (mais pas tous, dommage), le côté taré de Zéra n'a aucune limite et est fort bien retranscrit jusqu'à la fin. La folie s'empare de plus en plus du récit, porté par des effets gores de plus en plus présents et vraiment réussis pour quiconque aime le genre.
En somme, c'est pas mal du tout.
La postface est vraiment intéressante, l'auteur nous présentant ses influences, de la pièce de théâtre d'origine à Suehiro Maruo, évidemment.
Houla, un titre d'une grande violence, dérangeant, certainement malsain comme pas possible, mais toujours avec justesse. J'avais veritablement l'impression de voir du theatre, ou un bon film gore.
Furuya maitrise très bien le récit, et chacun des personnages qui le peuple.
Les dessins me plaisent ! Boarf, 15 euros, ouais ok, mais bon c'est un one shot, hein. En plus le synopsis est bien cool, il figurera dans ma collection.
Je l'ai vu et c'est quand même un joli pavé! C'est sans doute le titre le plus jusqu'au boutiste de Furuya, il y a zero censure, ni mosaique donc on en prend plein les yeux. De l'aveu de l'auteur ce one shot est un hommage au théatre Grand Guignol (à surtout pas confondre avec la marionette du même nom!) et à Maruo. C'est fou et beau à la fois!
De bubulle62 [9285 Pts], le 14 Mai 2017 à 06h49
une véritable descente au enfer, on suit l'avancer de notre groupe du Hikari Club qui petit à petit bien que les personnages étaient déjà bien cinglé sombre dans la folie. Malsain gore et glauque certains passages sont même difficile à lire tellement ils sont déguelasse !
De Anastasia, le 18 Juillet 2016 à 14h58
Un one shot magnifique. D'habitude je fini les mangas en 20 minutes maximum mais la c'est un gros pavé. Une ambiance gore et malsaine très bien menée. Les scennes d'amour et de torture sont jusifiés, ce n'est pas de la violence pour la violence. En bref, un chef d'oeuvre!
De peachgirll [7826 Pts], le 06 Juillet 2015 à 01h57
Ce manga envoie du lourd! L'histoire est de loin la plus malsaine qu'il m'ait été donné de lire. Les personnages sont glauques au possible, les dessins sombres et beaux à la fois. Bref, je recommande vivement. Âmes sensibles s'abstenir !
De DearNoctis [582 Pts], le 25 Septembre 2013 à 14h41
Délicieux.
Le style est élégant du début à la fin, même dans les scènes dures. On se plait à suivre l’évolution de Litchi aux côtés de la mystérieuse Kanon. La paranoïa, le désir, la destruction, la vengeance, l’amour, la trahison, tout cela fait naître un plaisir immense. Une douce torture.
De Goldorak34, le 05 Août 2012 à 18h13
Un chef-d'oeuvre de la BD. Tout simplement démentiel de la première à la dernière page. Merci Furuya-sensei.
De jkl852 [129 Pts], le 06 Avril 2012 à 23h58
Je ne regarderai plus les Litchis de la même façon ^^
De Luciole21 [2209 Pts], le 15 Mars 2012 à 17h51
J'avais prévu depuis longtemps de m'attaquer à Furuya, j'ai choisi de commencer par Litchi Hikari Club en raison de la notation attribuée par Manga News.
C'est donc l'histoire de 9 jeunes hommes formant ce qui a tout d'une secte, dont le but est...de s’approprier une fille. Chacun à un rôle dans cette petite organisation et après avoir fabriqué un robot créé pour capturer une fille, le but est atteint et c'est à partir de là que l'Hikari Club se retrouve plongé dans le chaos.
Si on prend un immense plaisir à cette lecture, et ce du début à la fin, on notera malheureusement quelques incohérences : le plus gros défaut de l’œuvre réside dans un manque de développement des personnages, comment des collégiens ont il pu en arriver à de tels extrémités ? Des flash-back auraient étés les bienvenues pour apporter quelques explications (on aurait également apprécié des détails sur le but premier de l'Hikari club). On se demande également comment des garçons peuvent avoir une connaissance si faible de la femme, même dans un lycée où la gente féminine est absente. Malgré ces quelques défauts, l'intrigue est si bien gérée que l'on se plonge dans l’œuvre en se laissant emporter par le trait sombre, mais soigné. Le dénouement tant attendu, bien qu'assez prévisible, clos l'ouvrage avec brio.
L'édition est de très bonne qualité. Nul doute que je ferais à nouveau affaire avec Furuya comme avec Imho.
De Hitsuji [5883 Pts], le 21 Décembre 2011 à 10h41
Acheté suite aux avis positifs de Jojo et Koiwai, et je dois dire que je ne regrette pas mon achat !
Le tome est épais, c'est déjà bon signe, ça fait de la lecture, et on en a pour son argent, au moins (pas comme un certain Kana sortit récemment). Le ton est donné dès les premières pages. Une ambiance sombre, glauque et malsaine. Et l'on est jeté dedans sans préavis, comme le pauvre garçon qui se fera torturer sous nos yeux, et la pauvre professeur suivra. On assiste à la réunion d'un club des plus bizarres, géré par un chef légèrement dérangé, mais le reste de l'équipe n'est pas en reste, niveau folie.
"Nos entrailles sont bien plus belles !"
C'est ce que vous dites, mais ne vous inquiétez pas, on aura la réponse en fin de tome !
Passé ce chapitre de présentation, on fait face au réveil de Litchi, la machine humanoïde créée dans le but ultime d'amener une fille, parfaite, raffinée et surtout, pure, dans l'Hikari Club. Le tout en développant la psychologie instable des protagoniste, que ce soit Nico, Jaïbo ou Zéra, tous ont un grain de folie. Et la trahison annoncé, lors d'une scène à l'aspect biblique prononcé, vient renforcer l'aura de Zéra.
Même Kanon, que l'on découvre une fois embarquée par Litchi, n'est pas totalement saine d'esprit. Enfermée là comme une sainte relique, elle tisse une étrange romance avec son geôlier, qui n'est qu'une machine, et pourtant paraîtra bien plus humains que les autres...
Parmi les nombreux personnages, certains restent assez effacé, surtout face à d'autres, bien plus charismatiques. Ainsi, Daf et Jacob, entre autres, ne m'ont pas laissé de grands souvenirs... C'est dommage, mais peut-être que le prequel corrigera cette erreur.
Quant à la fin, elle apporte sont lot de révélations. L'identité du traître, qui survivra à l'horreur sanglante qui se déverse sur l'Hikari Club et, surtout, c'est essentiel, qui a les plus belles entrailles.
Bref, un bon one-shot, quoique finalement un peu court, puisqu'il aurait gagné à développer certains personnages secondaires.
De asai [584 Pts], le 16 Septembre 2011 à 16h13
Ca y est je l'ai enfin eu et lu ! C'est gore a souhait et l'ambiance est terrible tout au long du récit.
De Kimi [3392 Pts], le 06 Août 2011 à 17h47
Urasamu Furuya est au manga ce que Gregg Araki est au cinéma. Hormis le fait que ce sont deux personnes qui ne se ressemblent vraiment pas et qui sont a l’extrémité l’une de l’autre, ces deux personnes ont un point commun : celui de savoir combiner plusieurs thèmes pour donner au final une œuvre ou des œuvres abouties. Gregg Araki portant ses films sur la sexualité et sur la fin du monde (Kaboom/The Doom Generation entre autres), Urasamu Furuya combine lui aussi plusieurs thèmes reconnaissables tout au long de la lecture, a savoir l’homosexualité, la trahison, voir même la religion. Et ces deux auteurs parviennent également a nous mettre une fin qui nous laisse sur le cul. Il suffit de voir les quinze dernières minutes de Kaboom, voir même le film dans sa totalité pour se dire que le cinéaste est vraiment une personne a part et que ses films sont a double tranchant. Soit ça passe ou soit ça casse.
C’est exactement le même constat pour Litchi Hikari Club. Mais qu’est-ce Litchi Hikari Club au bout du compte? Une descente aux enfers de 320 pages menée tambour batant et cloturée de main de maitre par Furuya. Coups de sifflets, lampes torches éclairant un espace lugubre, des pas s’intensifiant de plus en plus et vous voila embarqué. Tout commence de manière très « gentille », une sorte de petite introduction permettant au lecteur de s’imprégner de l’ambiance de l’œuvre. Introduction qui permet également de faire connaissance avec quasiment tous les personnages, qu’ils soient principaux ou secondaires. Le personnage central est évidemment Zéra, le chef, celui qui dirige tout dans le petit groupe composé de neufs garçons. Petit groupe qui se nomme l’Hikari Club, véritable secte, ayant pour objectif de capturer la plus belle fille qui soit et de régner sur le Monde (rien que ça!) On aura beau dire qu‘il faut avoir de l‘ambition d‘en la vie pour y arriver, mais en étant trop gourmand, on peut chuter de très haut... Mais comment la capturer au juste cette fille? Je vous laisse le plaisir de le découvrir. Au sein de ce petit groupe donc, c’est Zéra le meneur, celui qui dirige toutes les opérations. Secondé par Tamiya et Jaïbo, Zéra est une personne de déterminée, qui sait ce qu’elle veut et qui va droit au but. N’hésitant même pas a avertir ses comparses de ce qu’ils pourraient endurer si jamais celui-ci se serait fait avoir. C’est donc quelqu’un de prévoyant, de calculateur, sûr de lui. La confiance est donc de mise, mais elle est très fragile au sein de l’Hikari Club. Il suffirait juste d’une petite erreur pour que le château de cartes s’écroule. Mais Zera est une personne très idéologique, ayant ses convictions et n’hésitant pas a les faire transmettre a ses congénères pour pouvoir bâtir un nouveau Monde dont il serait l’unique pilier, celui sur lequel tout reposerait.
Furuya nous offre donc avec Litchi Hikari Club, une descente vertigineuse et violente qui monte crescendo tout au long des 320 pages pour ensuite finir par une véritable hécatombe, une tragédie qui prend le lecteur au tripes. Un coup de théâtre, puis un autre… Tout cela pour se terminer avec un véritable éclair qui s’abat sur le lecteur, dont le cœur bat a cent a l’heure. Le coup de crayon de Furuya est excellent et retranscrit parfaitement l’ambiance de l’œuvre. L’édition d’Imho est bonne, je pourrais reprocher quelques bavures lors du premier chapitre mais cela ne gâche en aucunement la plaisir de lecture. Certains points auraient mérités d’être approfondis et j’espère qu’ils le seront dans le préquel, préquel que j’attends avec une impatience non dissimulée. Reste une préface indispensable et très intéressante a lire absolument pour connaitre toutes les subtilités de l’œuvre.
Au final, Litchi Hikari Club est un one-shot d’une qualitée magistrale avec un scénario et une ambiance… exceptionnelles! Certainement un grand favori pour le prochain tournoi Seinen et mon gros coup de cœur pour cette année! Vous l’aurez compris, c’est donc un one-shot a posséder. Ne vous laissez pas abattre par le prix de celui-ci, il les vaux!
19/20
De Kimi [3392 Pts], le 19 Juillet 2011 à 22h22
Commandé en fin de semaine dernière, réception ce Vendredi. J'ai hate...! ^^
De THF [221 Pts], le 25 Juin 2011 à 02h12
Sympa la critique Jojo (:
"Litchi Hikari Club surpasse la plupart des œuvres de Suehiro Maruo." > Là par contre je ne suis pas d'accord ^^'
De jojo81 [7203 Pts], le 24 Juin 2011 à 17h19
Thanks Kimi :D
J'espère qu'il te plaira ^^
De Kimi [3392 Pts], le 24 Juin 2011 à 17h00
Excellente chronique Jojo! :D Je me l'achèterai quand mon budget me le permettra. ^^
De Koiwai [12681 Pts], le 19 Juin 2011 à 14h03
Quand Usamaru Furuya se prend pour Suehiro Maruo, cela donne Litchi Hikari Club.
Le début du récit à eu du mal à me convaincre. Présentation un peu molle, plusieurs personnages qui peinent à se démarquer, quelques incohérences (on tue des gens et tout le monde semble s'en foutre), mais à partir du moment om les choses démarrent réellement, Furuya montre qu'il est capable d'aller très loin et excelle dans la représentation de cette longue chute du Litchi Hikari Club. Certains protagonistes finissent par devenir plus convaincants et plus présents (mais pas tous, dommage), le côté taré de Zéra n'a aucune limite et est fort bien retranscrit jusqu'à la fin. La folie s'empare de plus en plus du récit, porté par des effets gores de plus en plus présents et vraiment réussis pour quiconque aime le genre.
En somme, c'est pas mal du tout.
La postface est vraiment intéressante, l'auteur nous présentant ses influences, de la pièce de théâtre d'origine à Suehiro Maruo, évidemment.
De mira [3190 Pts], le 10 Juin 2011 à 13h37
Houla, un titre d'une grande violence, dérangeant, certainement malsain comme pas possible, mais toujours avec justesse. J'avais veritablement l'impression de voir du theatre, ou un bon film gore.
Furuya maitrise très bien le récit, et chacun des personnages qui le peuple.
De Foakata [387 Pts], le 25 Mai 2011 à 21h19
Les dessins me plaisent ! Boarf, 15 euros, ouais ok, mais bon c'est un one shot, hein. En plus le synopsis est bien cool, il figurera dans ma collection.
De Museumanga [5963 Pts], le 24 Mai 2011 à 20h01
Whaouu le synopsis me botte bien... bon le prix o___o heureusement c'est qu'un one-shot y.y
De patrick batman, le 24 Mai 2011 à 12h10
Je l'ai vu et c'est quand même un joli pavé! C'est sans doute le titre le plus jusqu'au boutiste de Furuya, il y a zero censure, ni mosaique donc on en prend plein les yeux. De l'aveu de l'auteur ce one shot est un hommage au théatre Grand Guignol (à surtout pas confondre avec la marionette du même nom!) et à Maruo. C'est fou et beau à la fois!
De mira [3190 Pts], le 23 Mai 2011 à 21h10
j'espère que cette date sera la bonne...
De Koiwai [12681 Pts], le 12 Mai 2011 à 01h38
Ouep, je viens de voir ça sur leur site ><
De jojo81 [7203 Pts], le 05 Mai 2011 à 11h46
Tu m'étonnes que c'est galère, il a était reporté au premier juin...
De Koiwai [12681 Pts], le 04 Mai 2011 à 15h04
Comme d'hab, ça va être la galère pour trouver les nouveautés Imho...
De jojo81 [7203 Pts], le 04 Mai 2011 à 14h14
Mon libraire m'a dit qu'il n'y avait plus de date T_T
De pica [1896 Pts], le 29 Avril 2011 à 17h08
Repoussé au 19 mai pour une sortie simultanée avec Bambi 5. Miam !
De Kiraa7 [2429 Pts], le 14 Avril 2011 à 19h32
Le prix...T__T
De jojo81 [7203 Pts], le 28 Décembre 2010 à 17h07
"on est jamais sûr" ...
De jojo81 [7203 Pts], le 28 Décembre 2010 à 16h36
Sortie reportée au 5 mai 2011 et il couterai (on jamais sûr) 18 euros...
Je suis deg.
De pie bavarde, le 12 Novembre 2010 à 19h11
ça a l'air plutôt chouette !...Mais le prix...argh
De jojo81 [7203 Pts], le 15 Septembre 2010 à 12h56
Une anonce qui fait plaisir. Vivement sa sortie !!