Je craignais un peu d'être déçu par cette oeuvre de jeunesse mais il n'en est rien bien au contraire. A l'instar de Zero que Matsumoto a dessiné juste avant Le rêve de mon père la série est surprennante dans le bon sens.
Tayou Matsumoto livre ici une oeuvre traitant de la relation père fils sur fonds de baseball. L'enfant se voulant trop sérieux et imbu et prennant son père de haut, alors que ce dernier vie sa vie de manière spontannée, au jour le jour en espérant voir son rêve se réaliser.
Sur ce premier tome l'histoire est prennante et intelligente. Le tout est servie par un dessin magnifique (pour ceux aimant le style) et par un univers souvent alambiqué et poétique.
Ce premier tome est une claque et ne décois aucunement.. bien au contraire
Une lecture intéressante quand on connaît déjà suffisamment la carrière de Taiyô Matsumoto. Cette oeuvre fait partie des toutes 1es séries de l'auteur, et ça se sent: il tâtonne entre ce qu'il a fait avant, et l'orientation que sa carrière prendra ensuite, notamment avec le thème récurrent des relations parents/enfants. Il y a donc des imperfections, mais aussi pas mal de générosité dans les visuels et de sincérité dans le ton. Dans le graphisme ont sent que la patte Matsumoto, déjà bien reconnaissable dès ses premières oeuvres comme Zero, continue doucement de s'affirmer. A noter, un gros plus dans cette édition: une excellente préface de 4 pages signée Stéphane Beaujean, le directeur artistique du Festival d'Angoulême.
De nolhane [6612 Pts], le 26 Octobre 2018 à 21h40
Je craignais un peu d'être déçu par cette oeuvre de jeunesse mais il n'en est rien bien au contraire. A l'instar de Zero que Matsumoto a dessiné juste avant Le rêve de mon père la série est surprennante dans le bon sens.
Tayou Matsumoto livre ici une oeuvre traitant de la relation père fils sur fonds de baseball. L'enfant se voulant trop sérieux et imbu et prennant son père de haut, alors que ce dernier vie sa vie de manière spontannée, au jour le jour en espérant voir son rêve se réaliser.
Sur ce premier tome l'histoire est prennante et intelligente. Le tout est servie par un dessin magnifique (pour ceux aimant le style) et par un univers souvent alambiqué et poétique.
Ce premier tome est une claque et ne décois aucunement.. bien au contraire
De Koiwai [12710 Pts], le 06 Octobre 2018 à 20h21
Une lecture intéressante quand on connaît déjà suffisamment la carrière de Taiyô Matsumoto. Cette oeuvre fait partie des toutes 1es séries de l'auteur, et ça se sent: il tâtonne entre ce qu'il a fait avant, et l'orientation que sa carrière prendra ensuite, notamment avec le thème récurrent des relations parents/enfants. Il y a donc des imperfections, mais aussi pas mal de générosité dans les visuels et de sincérité dans le ton. Dans le graphisme ont sent que la patte Matsumoto, déjà bien reconnaissable dès ses premières oeuvres comme Zero, continue doucement de s'affirmer. A noter, un gros plus dans cette édition: une excellente préface de 4 pages signée Stéphane Beaujean, le directeur artistique du Festival d'Angoulême.