Kei n’a strictement aucune chance dans la vie.Le seul truc positif qui lui soit arrivé c’est d’avoir rencontré Yutaka. Il avait enfin compris sa méprise, à quel point son entraîneur est différent de toutes les personnes qu’il avait rencontré dans sa vie. Que sa tendresse à son égard ne demandait pas d’échange équivalent ou de sacrifice. L’influence de Yutaka sur lui se ressent plus fortement, il y a des « bugs », il lutte contre ses deux côtés, il ajuste ses paramètres pour faire ce qu’on attends de lui mais encore et encore, ça « bug ».
Et cela va se refléter à travers les réactions de son corps : il perd du poids, il est épuisé, son indifférence qui l’a longtemps protégé des souffrances se fissure. Très légèrement, juste assez pour que ce soit son corps qui l’exprime, mais pas suffisamment pour que lui-même le comprenne, pour qu’il porte des émotions. Ce sera assez pour alerter Yutaka et lui faire comprendre que tout ça, c’est pour lui.
Je te donnerai…tout ce dont tu auras envie.
La pire chose qui soit arrivée à Kei est d’être retombé sur la sinistre pourriture qui lui sert de frère.
J’en suis venue à haïr Tomoya qui est un personnage secondaire et membre du club de boxe, ayant surpris Kei et Yutaka, entraînant des conséquences désastreuses. De même pour la vermine à lunettes qui déteste les sportifs, par rapport à un complexe d’infériorité et qui est son collègue de travail, qui fouine là où il ne devrait pas et crée des problèmes incroyables.
Il y a une belle application à l’effet « boule de neige ». Certains actes distincts vont pourtant avoir un effet à la chaîne et vont créer un immense chaos. Surtout quand quelques actions sont orchestrées par une organisation de l’ombre ayant pris l’apparence d’une assemblée religieuse alors que même le terme de « secte » ne leur sied pas. « Nid à monstres » serait plus exacte.
Soit tu ressors de cet endroit en tant que cadavre, soit tu entres dans notre famille. Laquelle de ces deux solutions te tente le plus ?
Meurtres, combats illégaux, drogues, Dark web, vente d’organes, assassinats, et autres sujets sombres sont plus approfondi. Quitter cette « famille » est passible de mort, les membres sont tous tordus et dérangés.
Trop de discussion. Un bon coup de couteau à la place.
Et Kei qui ne vit que pour Yutaka risque d’y laisser des plumes.
De Ryuku [2749 Pts], le 17 Juin 2019 à 06h18
Kei n’a strictement aucune chance dans la vie. Le seul truc positif qui lui soit arrivé c’est d’avoir rencontré Yutaka. Il avait enfin compris sa méprise, à quel point son entraîneur est différent de toutes les personnes qu’il avait rencontré dans sa vie. Que sa tendresse à son égard ne demandait pas d’échange équivalent ou de sacrifice. L’influence de Yutaka sur lui se ressent plus fortement, il y a des « bugs », il lutte contre ses deux côtés, il ajuste ses paramètres pour faire ce qu’on attends de lui mais encore et encore, ça « bug ».
Et cela va se refléter à travers les réactions de son corps : il perd du poids, il est épuisé, son indifférence qui l’a longtemps protégé des souffrances se fissure. Très légèrement, juste assez pour que ce soit son corps qui l’exprime, mais pas suffisamment pour que lui-même le comprenne, pour qu’il porte des émotions. Ce sera assez pour alerter Yutaka et lui faire comprendre que tout ça, c’est pour lui.
La pire chose qui soit arrivée à Kei est d’être retombé sur la sinistre pourriture qui lui sert de frère.
J’en suis venue à haïr Tomoya qui est un personnage secondaire et membre du club de boxe, ayant surpris Kei et Yutaka, entraînant des conséquences désastreuses. De même pour la vermine à lunettes qui déteste les sportifs, par rapport à un complexe d’infériorité et qui est son collègue de travail, qui fouine là où il ne devrait pas et crée des problèmes incroyables.
Il y a une belle application à l’effet « boule de neige ». Certains actes distincts vont pourtant avoir un effet à la chaîne et vont créer un immense chaos. Surtout quand quelques actions sont orchestrées par une organisation de l’ombre ayant pris l’apparence d’une assemblée religieuse alors que même le terme de « secte » ne leur sied pas. « Nid à monstres » serait plus exacte.
Meurtres, combats illégaux, drogues, Dark web, vente d’organes, assassinats, et autres sujets sombres sont plus approfondi. Quitter cette « famille » est passible de mort, les membres sont tous tordus et dérangés.
Et Kei qui ne vit que pour Yutaka risque d’y laisser des plumes.