Critique du volume manga
Publiée le Mardi, 23 Juillet 2024
Secrètement amoureux de sa voisine de classe Mie, Komura n'est pas au bout de ses émotions puisque la jeune fille, étourdie à souhait, ne cesse d'oublier ses lunettes voire les casse maladroitement, en étant alors poussée à être trop près de notre héros dans plein de situations scolaires quotidiennes !
Au fil d'une nouvelle salve de chapitres de longueur très variable mais généralement très courts (ça va de seulement quatre pages à une vingtaine de pages), diverses situations s'enchaînent à nouveau entre ces deux-là, les prétextes ne manquant pas pour que la jeune fille se retrouve avec sa vue mise à mal: un rhume la poussant à porter un masque qui rend ses lunettes embuées, une tentative d'utiliser des lentilles alors qu'elle n'aime pas ça, une blessure en cours de sport où en prime elle marche sur ses binocles... ou même un moment où elle pense avoir oublié ses lunettes alors qu'elles sont simplement sur son front, summum de l'étourderie ! A partir de ces situations de départ, Koume Fujichika a l'occasion d'enchaîner de nouvelles petites gaffes qui ne vont jamais chercher loin. Les situations sont grosses, surtout parce que Mie est particulièrement décalée et à la ramasse dans certaines situations, mais ça a aussi son charme ! Et puis, entre sa façon de froncer constamment les sourcils de manière rigolote, son don pour dire certaines choses gênantes sans "sourciller" (c'est bon, vous l'avez ? ), et ses moments où elle se rapproche trop de Komura sans en avoir vraiment conscience, elle fait forcément beaucoup trop battre le petit coeur du jeune garçon, si que voir celui-ci dans tous ses états est généralement assez mignon.
Qui plus est,au beau milieu de tout ça, deux séquences sortent quelque peu du lot, la première concernant un possible quiproquo dès lors que Mie part donner à Azuma, le dragueur de la classe, une lettre de déclaration qui lui est destinée et qu'elle a trouvée par terre, sans avoir conscience de ce que c'est. Le beau gosse de la classe va-t-il alors jeter son dévolu sur notre héroïne ? L'amour secret de Komura est-il en péril ? Ou Azuma est-il plus perspicace que ça ? Quant à la deuxième séquence, elle voit Koume Fujichika déjà s'attaquer à l'inévitable étape de la Saint-Valentin, scène la plus longue du tome en incluant en prime le White Day, pendant laquelle Komura espère beaucoup mais devra à nouveau se frotter à quelques imprévus que l'on vous laisse découvrir.
Au bout de ce deuxième tome d'environ 140 pages, le constat est sensiblement similaire à celui du premier volume: Koume Fujichika ne va pas chercher bien loin ses idées et reste forcément limitée par son concept de base, mais quand on est client de ce genre de petite tranche de vie (type "Quand Takagi me taquine" ou "A quoi tu joues, Ayumu?!" ) il y a tout de même de quoi se laisser avoir par l'atmosphère plutôt agréable, par la légèreté de ton totale, et parles bonnes frimousses des deux personnages principaux.
Au fil d'une nouvelle salve de chapitres de longueur très variable mais généralement très courts (ça va de seulement quatre pages à une vingtaine de pages), diverses situations s'enchaînent à nouveau entre ces deux-là, les prétextes ne manquant pas pour que la jeune fille se retrouve avec sa vue mise à mal: un rhume la poussant à porter un masque qui rend ses lunettes embuées, une tentative d'utiliser des lentilles alors qu'elle n'aime pas ça, une blessure en cours de sport où en prime elle marche sur ses binocles... ou même un moment où elle pense avoir oublié ses lunettes alors qu'elles sont simplement sur son front, summum de l'étourderie ! A partir de ces situations de départ, Koume Fujichika a l'occasion d'enchaîner de nouvelles petites gaffes qui ne vont jamais chercher loin. Les situations sont grosses, surtout parce que Mie est particulièrement décalée et à la ramasse dans certaines situations, mais ça a aussi son charme ! Et puis, entre sa façon de froncer constamment les sourcils de manière rigolote, son don pour dire certaines choses gênantes sans "sourciller" (c'est bon, vous l'avez ? ), et ses moments où elle se rapproche trop de Komura sans en avoir vraiment conscience, elle fait forcément beaucoup trop battre le petit coeur du jeune garçon, si que voir celui-ci dans tous ses états est généralement assez mignon.
Qui plus est,au beau milieu de tout ça, deux séquences sortent quelque peu du lot, la première concernant un possible quiproquo dès lors que Mie part donner à Azuma, le dragueur de la classe, une lettre de déclaration qui lui est destinée et qu'elle a trouvée par terre, sans avoir conscience de ce que c'est. Le beau gosse de la classe va-t-il alors jeter son dévolu sur notre héroïne ? L'amour secret de Komura est-il en péril ? Ou Azuma est-il plus perspicace que ça ? Quant à la deuxième séquence, elle voit Koume Fujichika déjà s'attaquer à l'inévitable étape de la Saint-Valentin, scène la plus longue du tome en incluant en prime le White Day, pendant laquelle Komura espère beaucoup mais devra à nouveau se frotter à quelques imprévus que l'on vous laisse découvrir.
Au bout de ce deuxième tome d'environ 140 pages, le constat est sensiblement similaire à celui du premier volume: Koume Fujichika ne va pas chercher bien loin ses idées et reste forcément limitée par son concept de base, mais quand on est client de ce genre de petite tranche de vie (type "Quand Takagi me taquine" ou "A quoi tu joues, Ayumu?!" ) il y a tout de même de quoi se laisser avoir par l'atmosphère plutôt agréable, par la légèreté de ton totale, et parles bonnes frimousses des deux personnages principaux.
02/04/2025 
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