Suzuka Vol.1 - Actualité manga

Suzuka Vol.1 : Critiques

Suzuka

Critique du volume manga

Publiée le Vendredi, 19 Juin 2009

Alors qu'il doit emménager dans la pension de sa tante pour intégrer par la suite son nouveau lycée, Yamato croise en chemin, une jeune fille en train de s'entraîner au saut en hauteur, et en tombe instantanément amoureux. Quelle n'est pas sa surprise, en arrivant chez sa tante, quand il découvre que la demoiselle en question, appelée Suzuka, en est l'une des pensionnaires et va fréquenter le même établissement scolaire que lui...

C'est ainsi que débute Suzuka, shonen pantsu de Kouji Seo. Le moins que l'on puisse dire, c'est que ce premier volume peine à mettre les choses en place. Très vite, on se doute que l'on va avoir affaire à un titre centré sur l'amour de Yamato pour Suzuka, et que de nombreuses péripéties vont se glisser sur sa route. Rapidement, on a droit à la présentation de quelques-uns des principaux protagonistes, entre un héros sincère mais un peu benêt, l'ami d'enfance vicieux qui passe son temps à donner des conseils douteux, l'autre amie d'enfance qui a toujours été amoureuse du héros, les autres pensionnaires complètement délurées, et une héroïne au caractère insupportable. Rien de très original, en somme.
Rien de très original non plus au niveau de la forme: Yamato emménage dans une pension occupée exclusivement par des femmes, et de ce fait, on n'évite pas le traditionnel fan-service dans ce premier tome. Le problème et qu'ici, celui-ci est assez mal amené. Mais quand on sait que cet aspect du titre se fait largement plus discret dans les volumes suivants, cela ne semble pas avoir d'autre but ici que d'attirer quelques lecteurs supplémentaires.

Pas original pour un sou, ce premier volume introduit l'univers de la série de manière maladroite, et ne reflète pas au mieux la véritable ambiance du titre, qui met en sourdine le fan-service et se centre de plus en plus sur les sentiments des protagonistes et l'aspect sportif par la suite.


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
Koiwai
12 20
Note de la rédaction
Note des lecteurs