Critique du volume manga
Publiée le Mardi, 04 Décembre 2018
Kotoko vient d’épuiser deux de ses quatre théories pour éliminer la Femme d’acier à travers l’imaginaire collectif du forum géré par Rikka. Kûro résiste et ses nombreuses morts permettent à la Déesse de la sagesse d’attaquer de nouveau avec deux nouvelles théories qui devront porter le coup de grâce à la chimère imaginaire.
On retrouve la même formule que le précédent volume, à savoir des longs passages d’explication sur telle ou telle théorie en revenant sur les éléments précis de l’enquête sur Karin Nanase, le meurtre de l’inspecteur et l’imaginaire collectif de la Femme d’acier. Cependant dans ce volume les deux dernières théories sont plus haletantes par les conclusions de Kotoko et par leurs attaches plus ancrées dans le réel que dans le monde des esprits. En effet, ces dernières sont attachés au personnage de Karin Nanase qui, de son vivant, été harcelé par les médias. Kotoko manipule alors à sa guise les informations glanées par Kûro et Saki pour modeler une fausse réalité qui sera, l’espère-t-elle, acceptée par une majorité d’internautes.
Encore une fois cette narration nous permet de comprendre comment il est facile de faire valoir une idée sur internet et sur des forums. Mais à la différence du dernier volume où Kotoko actionnait des théories bien différentes l’une de l’autre, ici c’est l’ensemble des théories qui permettent de construire une véritable fausse réalité du fait qu’elle a utilisée dans chacune de ses théories des éléments bien réels et connus de tous, à savoir le passé de Karin Nanase, ses problèmes familiaux, son « suicide », le meurtre de M. Terada et les apparitions de la Femme d’acier. Tous cela permet alors de tromper l’internaute qui, ayant ses idées préconçues et ses propres théories, sera amener à croire l’une des théories lorsqu’elle lui conviendra sur le plan émotionnel.
On retrouve la même formule que le précédent volume, à savoir des longs passages d’explication sur telle ou telle théorie en revenant sur les éléments précis de l’enquête sur Karin Nanase, le meurtre de l’inspecteur et l’imaginaire collectif de la Femme d’acier. Cependant dans ce volume les deux dernières théories sont plus haletantes par les conclusions de Kotoko et par leurs attaches plus ancrées dans le réel que dans le monde des esprits. En effet, ces dernières sont attachés au personnage de Karin Nanase qui, de son vivant, été harcelé par les médias. Kotoko manipule alors à sa guise les informations glanées par Kûro et Saki pour modeler une fausse réalité qui sera, l’espère-t-elle, acceptée par une majorité d’internautes.
Encore une fois cette narration nous permet de comprendre comment il est facile de faire valoir une idée sur internet et sur des forums. Mais à la différence du dernier volume où Kotoko actionnait des théories bien différentes l’une de l’autre, ici c’est l’ensemble des théories qui permettent de construire une véritable fausse réalité du fait qu’elle a utilisée dans chacune de ses théories des éléments bien réels et connus de tous, à savoir le passé de Karin Nanase, ses problèmes familiaux, son « suicide », le meurtre de M. Terada et les apparitions de la Femme d’acier. Tous cela permet alors de tromper l’internaute qui, ayant ses idées préconçues et ses propres théories, sera amener à croire l’une des théories lorsqu’elle lui conviendra sur le plan émotionnel.
Malgré le côté sérieux de l’intrigue, on ne lésine pas non plus sur le plan humoristique qui fait son retour, notamment les frasques de la relation entre Kûro et Kotoko. En cela on retrouve l’ambiance des premiers volumes sans perdre en qualité au fur et à mesure de la lecture. Et on ne peut qu’être ravi de la conclusion de ce volume qui nous promet du renouveau dans les prochains chapitres ! En effet, on retrouve un chapitre bonus qui nous explique que le succès de l’adaptation manga de la licence à fait naître des suites au LN originel, de nouvelles intrigues attendent donc notre déesse de la sagesse et notre demi-yokaï ! Un autre bonus, d’un ton humoristique nous explique comment le mangaka a eu une liberté totale sur l’adaptation du LN originel. Côté édition, Pika nous gâte avec un volume bien épais.
29/11/2023 
15/05/2024 