Critique du volume manga
Publiée le Lundi, 22 Mars 2021
Suite aux manœuvres d'Igarashi pour convaincre Kokoro d'abandonner le stylisme, les rapports changes du tout au tout. Chiyuki s'associe s'associe à elle, et devient ainsi la rivale d'Ikuto. La manager impose ses conditions rudes, et souhaite que Kokoro domine son adversaire durant le défilé de la FMAD.
C'est ainsi que reprennent les préparatifs en vue de l'important défilé. Encore novice, Ikuto devra recevoir certains enseignements pour espérer l'emporter. Le temps passe, et c'est alors que le défilé commence...
Intense, le précédent opus a largement fait évoluer les enjeux de l'arc en faisant de Chiyuki non pas l'alliée d'Ikuto, mais sa rivale. Les chemins de personnages se croisent alors, Kotoba Inoya ne laissant rien au hasard et amenant même une belle dynamique dans son récit. Avec le début de ce septième tome, c'est tout une transition vers le défilé qui nous est proposé. Le mangaka ne fait pas trainer les choses et mis à part quelques menus développements concernant l'étape des préparatifs, tout est assez vite éclipsé. Le but ? Très certainement permettre à l'intrigue de passer aux choses sérieuses, tout en conservant un maximum de surprise concernant les collections conçues par les participants. L'arc doit entretenir une sorte de suspense jusqu'au clou du spectacle, le défilé de la FMAD, climax entamé dans la deuxième partie de cet opus.
Et on sent bien que le mangaka cherche à faire les choses en grand, de manière à ce que le défilé représente un premier aboutissement pour les personnages. L'étape est charnière, notamment pour Ikuto qui présente sa première collection tandis que Chiyuki s'apprête à défiler de manière volontaire et prévue pour la première fois. En somme, les vedettes de la série caressent leurs rêves, mais ont de fort enjeux à honorer. Bien des personnages secondaires répondent d'ailleurs à l'appel, comme si eux aussi, comme le lecteur, devenaient spectateurs de l'émergence de ces nouveaux talents destinés à chambouler leurs domaines de prédilection.
Le début du défilé ne déçoit pas, ne serait-ce par son rythme qui monte crescendo. On comprend que Kotoba Inoya veut faire monter la sauce, un pari déjà honoré via les premières entrées en scène de personnages connus. Graphiquement, l'artiste croque le glamour et le chic avec de superbes élans stylisés. Il avoue d'ailleurs bénéficier de la supervision, Kazuya Hasegawa de l'école Tokyo Fashion Art College, ce qui se ressent dans toute cette optique. Le travail se fait encore plus minutieux, ce qui tombe à point nommé pour une étape si importante de l'arc.
Shine ne cesse donc de briller à travers un septième volume qui joue parfaitement avec son rythme, jusqu'à abordé le majestueux défilé tant attendu. Un opus toujours plaisant, et qui cristallise des rapports entre personnages souvent emplis de bienveillance, ce qui fait du bien dans un titre jouant sur les rivalités et autre rapports conflictuels et de concurrence.
C'est ainsi que reprennent les préparatifs en vue de l'important défilé. Encore novice, Ikuto devra recevoir certains enseignements pour espérer l'emporter. Le temps passe, et c'est alors que le défilé commence...
Intense, le précédent opus a largement fait évoluer les enjeux de l'arc en faisant de Chiyuki non pas l'alliée d'Ikuto, mais sa rivale. Les chemins de personnages se croisent alors, Kotoba Inoya ne laissant rien au hasard et amenant même une belle dynamique dans son récit. Avec le début de ce septième tome, c'est tout une transition vers le défilé qui nous est proposé. Le mangaka ne fait pas trainer les choses et mis à part quelques menus développements concernant l'étape des préparatifs, tout est assez vite éclipsé. Le but ? Très certainement permettre à l'intrigue de passer aux choses sérieuses, tout en conservant un maximum de surprise concernant les collections conçues par les participants. L'arc doit entretenir une sorte de suspense jusqu'au clou du spectacle, le défilé de la FMAD, climax entamé dans la deuxième partie de cet opus.
Et on sent bien que le mangaka cherche à faire les choses en grand, de manière à ce que le défilé représente un premier aboutissement pour les personnages. L'étape est charnière, notamment pour Ikuto qui présente sa première collection tandis que Chiyuki s'apprête à défiler de manière volontaire et prévue pour la première fois. En somme, les vedettes de la série caressent leurs rêves, mais ont de fort enjeux à honorer. Bien des personnages secondaires répondent d'ailleurs à l'appel, comme si eux aussi, comme le lecteur, devenaient spectateurs de l'émergence de ces nouveaux talents destinés à chambouler leurs domaines de prédilection.
Le début du défilé ne déçoit pas, ne serait-ce par son rythme qui monte crescendo. On comprend que Kotoba Inoya veut faire monter la sauce, un pari déjà honoré via les premières entrées en scène de personnages connus. Graphiquement, l'artiste croque le glamour et le chic avec de superbes élans stylisés. Il avoue d'ailleurs bénéficier de la supervision, Kazuya Hasegawa de l'école Tokyo Fashion Art College, ce qui se ressent dans toute cette optique. Le travail se fait encore plus minutieux, ce qui tombe à point nommé pour une étape si importante de l'arc.
Shine ne cesse donc de briller à travers un septième volume qui joue parfaitement avec son rythme, jusqu'à abordé le majestueux défilé tant attendu. Un opus toujours plaisant, et qui cristallise des rapports entre personnages souvent emplis de bienveillance, ce qui fait du bien dans un titre jouant sur les rivalités et autre rapports conflictuels et de concurrence.
03/04/2024 