Kuroneko - Le doute Vol.2 - Actualité manga
Kuroneko - Le doute Vol.2 - Manga

Kuroneko - Le doute Vol.2 : Critiques

Kuroneko Kareshi no Amekata

Critique du volume manga

Publiée le Lundi, 23 Octobre 2017

Shingo ne sent absolument plus l’odeur de son compagnon, Keiichi. Persuadé que Keiichi s’est éloigné de lui, il n’arrête pas de remettre en doute leur relation. Or, ses doutes deviennent encore plus présents quand Keiichi accepte de partir à l’étranger, seul… Shingo est perdu et ne reconnait plus l’homme dont il est amoureux. Mais quand Keiichi découvre que Shingo ne sent plus l’odeur qu’il émane, il se demande si Shingo ne se serait pas simplement lassé de lui….


Shingo est rongé par la tristesse de voir Keiichi s’éloigner de lui et surtout troublé de ne plus sentir son odeur. Désespérément, il tente de donner tout de lui et notamment son corps avant que l’homme qu’il aime parte à l’étranger. Il fait tout pour que Keiichi se souvienne de son odeur. Mais son comportement plus que suspect éveille les interrogations de Keiichi et il découvre que Shingo ne sent plus son odeur. Or, l’odeur dépend de la personne qui la perçoit. Shingo se serait-il lassé finalement de Keiichi ? L’auteur renverse complètement la situation. Alors que nous pensions que Keiichi n’était plus autant amoureux de son compagnon, finalement ce sont les propres sentiments de Shingo qui sont remis en doute. Est-il encore amoureux de Keiichi ? Que ce soit Keiichi ou Shingo, l’auteur nous montre qu’ils ne se comprennent plus et qu’ils n’arrivent plus à communiquer l’un et l’autre pour sauver leur couple. Tant que Shingo n’abordera pas avec Keiichi ce qui l’éloigne de lui, leur couple ne pourra pas survivre à cette discorde…


Quand deux êtres qui s’aimaient ne se comprennent plus et se déchirent, quand l’un subit l’éloignement ou la rupture, les cœurs souffrent et se brisent. Alors que ce sont deux hommes charismatiques, l’auteur arrive à nous montrer leurs souffrances, leurs doutes et la douleur de perdre la personne qu’on aime.


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
Einah
17 20
Note de la rédaction