Critique du volume manga
Publiée le Lundi, 25 Février 2013
Séjournant chez les grand-père de Haruka qui leur dévoile plus d'informations sur le hihiirokané, le métal dont est faite Himura, nos héros sont bientôt confrontés à Amano, dont l'objectif semble dépasser de loin le simple contrôle de Mizuha. Pendant ce temps, Kanata se retrouve nez à nez avec l'envahisseur Noumi Yukué, qui la kidnappe...
Le schéma de Kamunagara semble désormais posé : de l'action, des révélations, de l'action, des révélations... Ce quatrième tome n'échappe pas à la règle : après les informations du tome 3 sur le hihiirokané, l'action reprend le dessus dans un début de volume qui voit Hitaka confronté à l'énigmatique Amano, dont l'objectif reste encore flou, et qui ne semble pas encore avoir tout dévoilé. Le trait est de Hajime Yamamura est toujours aussi fin, ce qui contribue au dynamisme de l'ensemble, mais côté mise en scène ça pèche encore un peu et le combat peut se révéler un peu confus, d'autant plus qu'Amano possède un look beaucoup trop proche de celui de notre héros.
Le passage action bouclé, retour aux révélations : tandis que Kanata est portée disparue, nos héros n'ont que peu de pistes, et c'est alors que l'inspectrice Sakura reçoit une mystérieuse disquette qui va lever un bout du voile sur bien des éléments : les origines de la guerre ancestrale qui semble se poursuivre génération après génération, l'origine du hihiirokané, le rôle de l'énigmatique Pilier Céleste... Autant d'éléments qui se précisent et viennent expliquer l'utilité de chacun des camps en place, tandis que d'autres protagonistes, comme Haruka Narugami, intriguent de plus en plus quant à leur vrai rôle dans tout ça. Hajime Yamamura montre ainsi qu'il a bien pensé les choses depuis le début, et commence à offrir à son histoire une dimension plus ambitieuse, qui va au-delà des simples scènes d'action. Toutefois, attention à ne pas se perdre au beau milieu d'un vocabulaire spécifique sans cesse utilisé, ou même au détour de flashbacks pas toujours bien amenés. Si le lecteur ne reste pas suffisamment attentif il risque de se perdre, alors que l'ensemble commence réellement à mériter qu'on s'y intéresse.
Action/révélations/action, ainsi ce quatrième tome se divise-t-il autour d'un schéma classique et désormais bien cerné, que l'auteur exploite bien pour enrichir de façon ambitieuse son intrigue... au risque de perdre certains lecteur tant l'ensemble demande de plus en plus un petit effort de concentration. Mais le jeu commence à en valoir la chandelle, et la suite s'annonce très intéressante.
Le schéma de Kamunagara semble désormais posé : de l'action, des révélations, de l'action, des révélations... Ce quatrième tome n'échappe pas à la règle : après les informations du tome 3 sur le hihiirokané, l'action reprend le dessus dans un début de volume qui voit Hitaka confronté à l'énigmatique Amano, dont l'objectif reste encore flou, et qui ne semble pas encore avoir tout dévoilé. Le trait est de Hajime Yamamura est toujours aussi fin, ce qui contribue au dynamisme de l'ensemble, mais côté mise en scène ça pèche encore un peu et le combat peut se révéler un peu confus, d'autant plus qu'Amano possède un look beaucoup trop proche de celui de notre héros.
Le passage action bouclé, retour aux révélations : tandis que Kanata est portée disparue, nos héros n'ont que peu de pistes, et c'est alors que l'inspectrice Sakura reçoit une mystérieuse disquette qui va lever un bout du voile sur bien des éléments : les origines de la guerre ancestrale qui semble se poursuivre génération après génération, l'origine du hihiirokané, le rôle de l'énigmatique Pilier Céleste... Autant d'éléments qui se précisent et viennent expliquer l'utilité de chacun des camps en place, tandis que d'autres protagonistes, comme Haruka Narugami, intriguent de plus en plus quant à leur vrai rôle dans tout ça. Hajime Yamamura montre ainsi qu'il a bien pensé les choses depuis le début, et commence à offrir à son histoire une dimension plus ambitieuse, qui va au-delà des simples scènes d'action. Toutefois, attention à ne pas se perdre au beau milieu d'un vocabulaire spécifique sans cesse utilisé, ou même au détour de flashbacks pas toujours bien amenés. Si le lecteur ne reste pas suffisamment attentif il risque de se perdre, alors que l'ensemble commence réellement à mériter qu'on s'y intéresse.
Action/révélations/action, ainsi ce quatrième tome se divise-t-il autour d'un schéma classique et désormais bien cerné, que l'auteur exploite bien pour enrichir de façon ambitieuse son intrigue... au risque de perdre certains lecteur tant l'ensemble demande de plus en plus un petit effort de concentration. Mais le jeu commence à en valoir la chandelle, et la suite s'annonce très intéressante.