Gakuen Ouji - Playboy Academy Vol.9 - Actualité manga

Gakuen Ouji - Playboy Academy Vol.9 : Critiques

Critique du volume manga

Publiée le Lundi, 10 Décembre 2012

Seriha n’accepte pas vraiment de subir de désillusions ou des trahisons. Ce n’est pas dans sa nature d’accepter qu’on lui vole la vedette, et encre moins si c’est Rise, celle contre qui elle nourrit un fort sentiment de vengeance. Alors, pour la confondre et dans le même temps venger Akamaru qui ose la repousser et lui préférer sa rivale, elle les met tous les deux en défaut. Okitsu est de nouveau maltraitée par les filles qui pensent toutes qu’elle a volé Akamaru à Seriha, tandis que ce dernier est dans une posture difficile puisque, s’il va aider l’élue de son cœur, il la mettra dans une situation encore plus compliquée. Le jeune homme oublie le danger et court à la recherche de sa belle mais il tombe lui aussi dans un piège orchestré par Seriha. Et pendant ce temps, Mizutani fait l’imbécile et ne protège même pas Rise, abattu par la nouvelle de ce couple inattendu qu’il aurait préféré ne pas connaitre. A moins qu’il ne fasse ça pour être libre de ses mouvements et pouvoir l’aider par la suite … Ce serait bien du style de son caractère tordu …

Seriha dévoile enfin son vrai visage, et Rise finit par admettre qu’elle s’est faite bernée par une ancienne camarade de classe … Seriha déserte donc le champ de ruine qu’est devenu le lycée dans lequel elle a tenté d’être la reine, laissant à Akamaru enfin l’occasion de se déclarer. Le tome est sympathique, les choses avancent enfin et ce toujours dans l’esprit du manga, qui met beaucoup l’impact sur les châtiments corporels et les sentiments disproportionnés. En fin de tome, on a droit à un petit flash back nous montrant enfin comment tout à commencé, ce qui lie nos protagonistes principaux … C’est le début d’une belle histoire d’amour enfin partagée, et tant pis pour ceux à qui ça ne plairait pas. Sérieusement, qui s’en soucie ? En tout cas, une lecture cette fois très agréable qui nous séduit par sa fraicheur et sa capacité à renouer avec les émotions plus réelles des personnages.


NiDNiM


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
NiDNiM
16 20
Note de la rédaction
Note des lecteurs