Dragon Ball - Perfect Edition Vol.18 - Actualité manga
Dragon Ball - Perfect Edition Vol.18 - Manga

Dragon Ball - Perfect Edition Vol.18 : Critiques

Dragon ball

Critique du volume manga

Publiée le Mercredi, 29 Février 2012

Gohan et Krilin sauvent Dende, un enfant Namek, des griffes de Freezer et ses soldats. La course aux Dragon Ball commence alors avec ces nouveaux ennemis, mais aussi face à un Vegeta enragé contre le tyran. L'attente de Goku est bien longue, mais nos héros doivent survivre jusque là...

Encore une fois, ce volume marque l'absence de Goku et permet à Gohan et Krilin de briller un peu. Néanmoins, nos deux héros paraissent bien impuissants face à ces bêtes de combat présentes sur la planète. Parmi elles se trouve Vegeta qui est le véritable protagoniste de ce volume. La grande partie de cet opus se concentre en effet sur le guerrier Saiyen et son désir de vengeance sur Freezer et ses sbires. Cela l'amène à livrer bataille contre Dodoria et Zabon, les deux principaux hommes de main du principal ennemi de l'arc qui, bien qu'inactif, ne cesse de briller par la peur qu'il inspire. D'ailleurs, les affrontement sont assez rapide, servant à mettre en scène la montée en puissance de Vegeta malgré une première défaite contre l'un des deux adversaires, une défaite n'ayant lieu que pour rendre le Saiyen encore plus puissant.

En dehors des combats, le reste du tome n'est que course aux Dragon Ball de Namek. Pour Krilin et Gohan, il n'est pas question de combattre face à de tels adversaire, et il leur faudra mettre la main de manière subtile sur les "boules de cristal". Mais face à l'impuissance de ces derniers, Toriyama met en scène une rapide montée en puissance, sortie de nulle-part, insérée de manière totalement hasardeuse au récit. Assez malvenu me direz-vous, mais qu'importe étant donné que ce n'est pas ce power-up qui changera grand chose...
Malgré ça, cette course aux Dragon Ball apporte une certaine intensité au volume, intensité accentuée par le manque de puissance de nos héros terriens contraint d'agir de manière discrète et subtile. L'action "coup-de-poing" n'occupe donc pas une place cruciale dans cet opus, il faudra attendre le retour de Goku pour passer aux choses sérieuses...

Concernant l'édition, si Glénat réalise toujours un sans faute sur celle-ci, on saluera l'initiative du traducteur d'ajouter quelques notes à chaque apparition de Namek pour expliquer l’étymologie des prénoms. Des précisions certes discrètes et dispensables, mais toujours très intéressantes, prouvant encore que Toriyama aime jouer avec les mots !


Takato


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
Takato
16 20
Note de la rédaction
Note des lecteurs