Collège Fou Fou Fou (le) - Kimengumi Vol.18 - Actualité manga

Collège Fou Fou Fou (le) - Kimengumi Vol.18 : Critiques

Haisukuuru! Kimengumi

Critique du volume manga

Publiée le Vendredi, 03 Novembre 2017

Les loufoqueries des personnages du Collège fou, fou, fou reprennent avec un nouvel "épisode ultra marrant" où, cette fois-ci, Motoei Shinzawa s'amuse à parodier un certain type de récits SF/fantastique, sur la base d'une invasion d'insectes de l'espace. Le résultat est plutôt drôle dans certains détournements, et nous prépare bien pour un 18ème volume très emballant !


En effet, cette fois-ci l'auteur ne nous offre pas de récits très longs (2 chapitres tout au plus), mais régale par son exploitation de nombreux personnages, à commencer par certains nouveaux visages. On pense bien sûr aux membres du club de photographie qui réservent quelques mauvais tours, mais surtout à l'arrivée du grand-père de Jin, un vieil homme hilarant tant il montre que la paresse et la lenteur peuvent être héréditaires.


Mais ce sont aussi plusieurs personnages secondaires déjà vus que le mangaka utilise ici, et on appréciera de voir sur le devant certains visages qui, habituellement, sont beaucoup plus secondaires. Comme Papy Jeunesse, en plein tourment, ou Rui, dont on découvre le véritable visage (voir une tout autre personnalité)  sans ses lunettes, ainsi que ses goûts en matière d'homme... ce qui donnera lieu à un amusant quiproquo concernant la virilité de l'homme le plus féminin du lycée. On retrouve également avec joie un Lassie toujours aussi idiot et "maltraité", et qui se retrouve dans une drôle d'affaire... mais ses nouveaux maîtres lui conviendront-ils ?


Enfin, bien sûr, cette fois-ci les membres du Kimengumi sont bien au rendez-vous, entre la découverte d'un secret honteux de Gô, Dai qui semble avoir acquis un don de voyance, Rei qui tente désespérément de se débrouiller seul avec son meilleur pote en l'absence de sa famille... La seule petite pointe de déception, c'est que par rapport à ses 4 compères, Kiyoshi a été un peu moins exploité depuis plusieurs chapitres.


On tient ici un tome dont les récits s'avèrent très rafraîchissants, surtout parce que Motoei Shinzawa y  utilise une assez vaste palette de ses personnages farfelus.


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
Koiwai
15 20
Note de la rédaction