Baki Vol.9 - Actualité manga
Baki Vol.9 - Manga

Baki Vol.9 : Critiques

New grappler baki

Critique du volume manga

Publiée le Mardi, 03 Février 2015

Dorian, le géant américain, un des cinq condamnés à mort, a été isolé par les représentants du Shinshinkai, il est seul face à trois terribles combattants dont le seul objectif est de l'abattre !

Après une surprise qu'on n'avait pas vue venir, la lutte peut commencer entre le condamné et Doppo, le maître du karaté mondial !


Dorian contre Doppo, second et dernier round ! Après leur premier affrontement, terriblement violent, où Doppo y avait laissé une main, l’heure de la revanche a sonné ! Et quelle revanche !


Mais avant tout, l'auteur nous fait une incroyable révélation sur le condamné, on apprend que celui-ci est un condisciple de Retsu, qu'il est même un des trois seuls guerriers de ce siècle à avoir obtenu le titre de Kiaoh, la plus grande reconnaissance du Kung Fu. De ce fait, Retsu renonce à affronter le condamné, car un combat entre disciples de la même école est interdit…laissant la place au karatéka plus que motivé. On ne sera pas déçu longtemps puisque c'est donc Doppo qui entre en scène...et on attendait que ça !


On se dit alors pendant un moment que maintenant que le statut de grand maître de Dorian est dévoilé celui-ci va utiliser des techniques de son art, et laisser de coté ses artifices et autres armes déloyales…eh bien non, on ne comprend pas pourquoi l'auteur ne reste pas sur cette piste, pourquoi l'avoir intégré pour ne pas l'exploiter...à moins qu'il se la réserve pour plus tard ! Et malgré ses armes déloyales, Dorian reçoit la pire correction de son existence.


L’auteur est là encore totalement dans la démesure, une fois de plus, les combattants s’assènent tout le long du volume des coups dont un seul suffirait à les tuer, mais on est totalement absorbé par ce qui se joue sous nos yeux, on ne trouve que du combat ici, un concentré de sauvagerie, et comme à son habitude l’auteur rend à merveille la violence des coups ! C’est dans des moments comme cela que l’on sait pourquoi on lit Baki, pour de purs moments de plaisir régressifs !


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
Erkael
17 20
Note de la rédaction
Note des lecteurs