Critique du volume manga
Publiée le Lundi, 06 Mai 2019
« S'il existait un cours sur « l'amour », je serais à coup sûr la dernière de la classe. »
Sumi essaie désespérément de convaincre son père de la force des sentiments que Satsuki et elle partagent pour que celui-ci accepte enfin leur relation. Un soir où elle l'attend en vain dans le restaurant où travaille Seiji, elle craque et fond en larmes dans les bras du serveur... sans savoir que son père était juste derrière la porte et n'a rien manqué du spectacle. Après ça, comment le persuader de sa sincérité ?
« Pour pouvoir ne serait-ce qu'un peu, accrocher son cœur... et laisser ma marque... voilà ce qui motive mon travail ! »
Tant du côté de Sumi que de Satsuki, un manque de confiance en eux et en leur partenaire vient entacher leur relation. Les causes ? Le rapprochement involontaire de Sumi avec le beau Seiji et le changement de poste de Satsuki, qui se retrouve à travailler en collaboration avec l'entreprenante Kana. En effet, l'alliance entre Kana et Seiji est assez redoutable. Kana monopolise Satsuki, en s'appliquant à blesser et déstabiliser Sumi autant que possible. Des non-dits et des mensonges accentuent le malaise entre nos deux héros, et ils devront redoubler d'efforts et communiquer davantage pour aller de l'avant.
« Toute ma vie, j'aimerais cet adorable menteur. »
Akimi Hata offre un happy end à cette série même si les deux héros, Mademoiselle marc de thé particulièrement, ont encore bien du chemin à parcourir pour être des experts en amour. Sans être très original, ce josei tient ses promesses et nous offre une bonne romance, rythmée par des thématiques et des enjeux caractéristiques du monde des adultes, comme la vie en entreprise. La maladresse et les erreurs de Sumi servent son évolution puisque c'est grâce à elles qu'elle va pouvoir avancer et réussir à s'affirmer. Toutefois, la mangaka aurait pu aller encore plus loin et approfondir davantage la relation entre Sumi et Satsuki, par exemple sur leur avenir commun.
Sumi essaie désespérément de convaincre son père de la force des sentiments que Satsuki et elle partagent pour que celui-ci accepte enfin leur relation. Un soir où elle l'attend en vain dans le restaurant où travaille Seiji, elle craque et fond en larmes dans les bras du serveur... sans savoir que son père était juste derrière la porte et n'a rien manqué du spectacle. Après ça, comment le persuader de sa sincérité ?
« Pour pouvoir ne serait-ce qu'un peu, accrocher son cœur... et laisser ma marque... voilà ce qui motive mon travail ! »
Tant du côté de Sumi que de Satsuki, un manque de confiance en eux et en leur partenaire vient entacher leur relation. Les causes ? Le rapprochement involontaire de Sumi avec le beau Seiji et le changement de poste de Satsuki, qui se retrouve à travailler en collaboration avec l'entreprenante Kana. En effet, l'alliance entre Kana et Seiji est assez redoutable. Kana monopolise Satsuki, en s'appliquant à blesser et déstabiliser Sumi autant que possible. Des non-dits et des mensonges accentuent le malaise entre nos deux héros, et ils devront redoubler d'efforts et communiquer davantage pour aller de l'avant.
« Toute ma vie, j'aimerais cet adorable menteur. »
Akimi Hata offre un happy end à cette série même si les deux héros, Mademoiselle marc de thé particulièrement, ont encore bien du chemin à parcourir pour être des experts en amour. Sans être très original, ce josei tient ses promesses et nous offre une bonne romance, rythmée par des thématiques et des enjeux caractéristiques du monde des adultes, comme la vie en entreprise. La maladresse et les erreurs de Sumi servent son évolution puisque c'est grâce à elles qu'elle va pouvoir avancer et réussir à s'affirmer. Toutefois, la mangaka aurait pu aller encore plus loin et approfondir davantage la relation entre Sumi et Satsuki, par exemple sur leur avenir commun.
Une série courte pour un bon moment de lecture, accompagné de graphismes sympathiques et un bon travail sur l'utilisation des trames, notamment sur le dernier tome.
11/11/2015 