Pour trois jours de bonheur, le nouveau young novel d'Akata

C'est le mois prochain que les éditions Akata publieront un nouveau roman dans leur collection Young Novel. Ce dernier, intitulé Pour Trois de Bonheur - J'ai vendu le reste de ma vie est un récit signé Miaki Sugaru.
  
A l'origine, c'est de 2011 à 2013 sous le pseudonyme de Genfûkei que Sugaru Miaki s'est fait connaître, en postant ses histoires sur le site de partage collaboratif 2 Channel. Il se fait alors remarquer par l'éditeur Media Works Bunko, qui publie son premier roman en papier, en septembre 2013. Depuis, l'auteur se spécialise dans des romans courts, avec des personnages très contemporains, dans une société qui ne cesse d'isoler les individus.

Dans le roman ici présent, né en 2013, sous le titre Mikkakan no Koufuku, il met en scène un étudiant désabusé, qui constate que sa vie n'a été qu'une suite de déceptions. Acculé financièrement, il décide de vendre sa vie… Dès lors, le récit offrira un voyage introspectif, entre souvenirs d'une enfance perdue, regrets, et nouveau quotidien. Akata promet une oeuvre dense et complexe qui, entre autres, devrait cristalliser les doutes et errances d'une jeunesse d'aujourd'hui. Notons aussi que ce roman a connu au Japon en 2016 une adaptation en manga en 3 tomes, nommée Jumyou wo Kaitotte Moratta. Ichinen ni Tsuki, Ichimanen de. et dessinée par Shôuichi Taguchi.

Sortie prévu le 28 mars au prix de 14€99.


Synopsis :
  
Saviez-vous qu’il est possible de vendre une partie de sa vie contre une belle somme d’argent ? C’est en tout cas ce qu’a entendu dire Kusonoki, jeune Japonais désabusé qui n’attend plus rien de l’existence. Aussi, un matin, il décide de commettre l’irréparable et se rend au bureau de vente. Surpris, il y apprend que sa vie ne vaut pas grand-chose. Mais peu lui importe… Il choisit de ne conserver que trois mois de sa longévité, et de profiter du peu de temps qu’il lui reste. Mais alors qu’un fatidique compte à rebours est lancé, son quotidien lui réserve soudain de nouveaux rebondissements… Hélas, n’est-il pas trop tard pour réapprendre à vivre ?