— Le monde des vivants et le monde des morts tentent de retrouver un lien cohérent. Je vais devoir vous laisser. — C’est déjà fini ? Aoi voulait que cet instant dure plus longtemps. Ayane nous fit un geste de la main en souriant. — Je suis contente de vous avoir connus, tous les trois. Au revoir. Que les dieux veillent sur vous. Je restai perplexe tandis qu’Aoi, à côté de moi, salua à son tour Ayane de la main. — Que les dieux veillent sur toi, Ayane ! Le vent se mit à souffler, et l’herbe à danser. Les insectes volants poursuivirent leur envol, et les tiges de nos feux d’artifice atterrirent au sol pour s’éteindre définitivement. Nous n’étions à nouveau plus que trois et restions un moment immobiles et silencieux.
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