ohi ! c’est quoi, ton nom ? bojji, c’est ça ? moi, je m’appelle ombre ! aeuh ! tout doux, force pas ! allez… je compte sur toi demain aussi, bojji ! awuh ! et c’est ainsi que, chaque jour, bojji donnait ses vêtements à ombre et rentrait en caleçon. hi hi hi ! hé hé hé… hé hé… ha ha ha ha !
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