© by TERASAWA Daisuke / Black Box Editions
Le talon d’Achille de la pâte de riz est son moelleux ! La dégustation est ruinée, la douceur du mochi , ses arômes, tout est retourné au néant ! La soupe l’a dévoré … !! Vous avez votre répon- se. Il y aura sans doute une at- tente d’une dizaine de minutes… Suffi- sam- ment pour arriver à ce résul- tat. La particularité du miso blanc est sa capacité à rester chaud plus longtemps. Or, plus le mochi mijote, plus il se désagrège et plonge au fond du bol. Par contre, si le temps de cuisson est réduit, les sa- veurs perdent de leur pres- tance et le rendu sera fade. Mon assemblage de riz assure une densité suffi- sante. Quant au mochi de radis de Hufeng, il aura été préalablement saisi, ce qui de- vrait le sauver. Yôichi est le seul à devoir faire face à un tel obstacle. Et j’en suis navré … 27
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