Haibane Renmei est irracontable. autant essayer de raconter un poëme de Prevert ou une pièce de Ionesco. Un monde de transition; une jolie petite ville de campagne entourée d'un mur infranchissable : un purgatoire, où vivent de jeunes femmes aux ailes grises. Elles sont là pour racheter une faute commise dans une vie antèrieure. Une tâche difficile, puisqu'elles ont perdu la mémoire, et ne se rapellent même plus de leur nom... Une série emplie de poësie, mais aussi de mélancolie. L'ambiance, au fil des épisodes, se fait de plus en plus mystérieuse, et l'épisode final (innoubliable!) est digne d'une nouvelle d'Alan Edgar Poe. Abe (Lain, Nie-7), ici dessinateur et scénariste, montre une nouvelle fois son génie. A noter que la série bénéficie d'une superbe image 16/9.
De Gonbawa [403 Pts], le 16 Octobre 2009 à 06h47
Haibane Renmei est irracontable. autant essayer de raconter un poëme de Prevert ou une pièce de Ionesco. Un monde de transition; une jolie petite ville de campagne entourée d'un mur infranchissable : un purgatoire, où vivent de jeunes femmes aux ailes grises. Elles sont là pour racheter une faute commise dans une vie antèrieure. Une tâche difficile, puisqu'elles ont perdu la mémoire, et ne se rapellent même plus de leur nom... Une série emplie de poësie, mais aussi de mélancolie. L'ambiance, au fil des épisodes, se fait de plus en plus mystérieuse, et l'épisode final (innoubliable!) est digne d'une nouvelle d'Alan Edgar Poe. Abe (Lain, Nie-7), ici dessinateur et scénariste, montre une nouvelle fois son génie. A noter que la série bénéficie d'une superbe image 16/9.