bon ce tome ci m'a beaucoup moins plut que le précédent ! le copain de natsuko m'agaçe avec ses airs de héros à deux balles et pis quoi de mieux à faire quand le gage est de tuer 1 élève de la classe ? réunissons tous aux même endroit !!!
Suite de Spiral, avec tout les défauts des précédents opus concentrés en un seul tome. On retrouve pelle-mèle: le je-m'en-foutisme des policiers, la cruauté gratuite et l'angélisme borné. Le caractère des personnages est beaucoup plus cliché que dans les précédent opus qui offraient une palette variée de comportements, car on ne trouve que deux sortes de personalités: le sadisme gratuit (chaque élève doit en tuer un autre pour survivre, et tout ceux qui s'exécute y prennent plaisir, certains au point de continuer le massacre pour rigoler), ou l'héroïsme à courte vue, avec l'habituel débat stéril de tout les opus avec un ordre de ce genre:
-«il est hors de question qu'on s'entretue»
-«tu as une autre solution?»
-«heu, non»
-«bon ben alors on s'entretue».
Le gros problème restant la transformation en psychopathes de presque tout le monde. Dans King's Game Extrem, la cruauté de Natsuko Honda était intéréssante parce qu'elle était exceptionnelle. Ici, elle est banale et sert juste a appater le lecteur avec du gore. On est loin du froid pragmatisme de Michiko Hirano dans Origin, qui prenait la peine d'expliquer son raisonnement de le défendre, avec succés qui plus est, les autres personnages n'ayant souvent rien à lui répondre.
De gtam95 [593 Pts], le 11 Mars 2021 à 21h32
Moins développé et moins chouette que le reste de la série.
De bubulle62 [9285 Pts], le 12 Juin 2017 à 07h00
bon ce tome ci m'a beaucoup moins plut que le précédent ! le copain de natsuko m'agaçe avec ses airs de héros à deux balles et pis quoi de mieux à faire quand le gage est de tuer 1 élève de la classe ? réunissons tous aux même endroit !!!
De Hurleguerre, le 13 Septembre 2016 à 16h31
Suite de Spiral, avec tout les défauts des précédents opus concentrés en un seul tome. On retrouve pelle-mèle: le je-m'en-foutisme des policiers, la cruauté gratuite et l'angélisme borné. Le caractère des personnages est beaucoup plus cliché que dans les précédent opus qui offraient une palette variée de comportements, car on ne trouve que deux sortes de personalités: le sadisme gratuit (chaque élève doit en tuer un autre pour survivre, et tout ceux qui s'exécute y prennent plaisir, certains au point de continuer le massacre pour rigoler), ou l'héroïsme à courte vue, avec l'habituel débat stéril de tout les opus avec un ordre de ce genre:
-«il est hors de question qu'on s'entretue»
-«tu as une autre solution?»
-«heu, non»
-«bon ben alors on s'entretue».
Le gros problème restant la transformation en psychopathes de presque tout le monde. Dans King's Game Extrem, la cruauté de Natsuko Honda était intéréssante parce qu'elle était exceptionnelle. Ici, elle est banale et sert juste a appater le lecteur avec du gore. On est loin du froid pragmatisme de Michiko Hirano dans Origin, qui prenait la peine d'expliquer son raisonnement de le défendre, avec succés qui plus est, les autres personnages n'ayant souvent rien à lui répondre.