Et un isekai de plus dans le catalogue de Meian: l'éditeur a annoncé aujourd'hui la publication française, à partir du 18 juin et au prix de 6,95€ par tome, du manga Mercedes de la Lune Décroissante.
De son nom original Kaketa tsuki no Mercedes ~Kyûketsuki no kizoku ni tensei shitakedo suterare sônanode dungeon wo seihasuru~ @COMIC, cette oeuvre voit la mangaka Pochi Edoya adapter un light novel écrit par Fire Head (Yasei no Last Boss) et illustré par KeG (Skeleton Knight in Another World). Lancée au Japon en 2021 dans le web magazine Comic Corona des éditions To Books, elle compte à ce jour quatre volumes.
Au programme, un manga de dark fantasy initiatique, dans lequel une héroïne marginale s’élève seule contre un ordre social hostile. La série s’inscrit dans un univers vampirique teinté de mélancolie, où la survie passe par la conquête de donjons mystérieux et organiques.
L'éditeur promet une série qui est visuellement fine et expressive, et qui offre un contraste entre le style mignon et soigné du dessin et la brutalité du monde décrit. On nous annonce également des thématiques profondes comme l’exclusion, la résilience, le choix de vivre intensément après une première existence ratée, le tout sur fond de progression tactique, conflits politiques, drames familiaux et aventures surnaturelles.
Synopsis :
Mercedes est une jeune fille réincarnée dans un monde dominé par une aristocratie vampirique, au cœur du royaume d’Orcus. Fille illégitime d’un noble et d’une concubine, elle vit avec sa mère dans les ruines d’un manoir oublié, en périphérie d’une société qui l’ignore. Consciente que sa place est précaire et que ses jours dans ce monde de sangsues raffinées sont comptés, elle décide de tracer sa propre voie.
En devenant « Seeker », exploratrice de donjons, Mercedes entre dans un univers brutal et dangereux, peuplé de monstres mythiques, d’ambitions rivales et de secrets enfouis. Armée de sa détermination, de sa mémoire d’une vie antérieure sans relief, et bientôt épaulée par les créatures qu’elle vainc et apprivoise, elle se lance dans une ascension aussi douloureuse qu’inspirante.