Taifu et Ototo annoncent 1 titre chacun

Les éditions Taifu et Ototo ont respectivement annoncé la sortie, dès fin janvier, des séries Whispering you a love song et Love me for who I am.


Whispering you a love song


Plus qu’une romance lycéenne, Eku Takeshima nous propose, selon l'éditeur, un yuri doublé d’une véritable exploration des sentiments de ses personnages du niveau d’un Bloom into You. Une série portée par un trait clair et expressif et une écriture d’un optimisme sans bornes qui échappe avec justesse aux clichés du genre. En cours au Japon depuis 2019 dans le magazine Comic Yurihime d'Ichijinsha sous le nom Sasayaku Yô ni Koi o Utau, l'oeuvre compte à ce jour 5 tomes.


Synopsis :

Pendant la cérémonie de rentrée au lycée, Himari est profondément touchée par le chant de la vocaliste du groupe jouant sur scène, une belle et grande fille répondant au nom de Yori. Incapable de retenir son enthousiasme, elle va à sa rencontre pour lui partager ce sentiment, en tant que fan. Mais ce qu'elle ne réalise pas tout de suite, c'est que cette dernière a eu le coup de foudre pour elle de façon bien plus romantique ! Que fera Himari quand elle se rendra compte que les sentiments qu'elle éprouve pour Yori ne sont peut-être pas au niveau de ceux que cette dernière ressent pour elle ?


Love me for who I am


D'après l'éditeur, Kata Konayama croque dans ce manga un portrait de jeunes adolescents qui viennent à travailler pour des raisons qui leurs sont propres dans un café unique en son genre. Parsemé de doutes, ces jeunes de tous horizons se rassemblent autour de Mogumo, la nouvelle recrue, et de ses propres questionnements, autant sur son propre genre que sur son attirance romantique. Ototo promet un récit d’une grande force émotionnelle et avec un trait aussi charmant qu’il peut être puissant. De son nom original Fukakai na Boku no Subete o, cette oeuvre est finie en 5 tomes au Japon, et a été prépubliée de 2018 à 2021 dans le Comic MeDu de l'éditeur Got.


Synopsis :
Mogumo est un·e lycéen·ne solitaire et effacé·e. Soucieux de le sortir de son isolement, un de ses camarades de classe lui propose de venir travailler avec lui dans un Maid Café un peu particulier : il n’emploie que des otokonoko, des hommes habillés en femmes. Alors que Mogumo était très enthousiaste à l’idée de travailler dans cet endroit, iel déchante lorsqu’on lui explique que les employés doivent se présenter en tant qu’hommes travestis. Mogumo refusant d’être désigné comme un homme, lui est-il possible de trouver sa place dans cet endroit ?