Le manga la vie de Raffaello SANTI dit Raphaël chez Black Box Editions

C'est avec fierté que les éditions Black Box nous annoncent l'arrivée dans leur catalogue d'une grande mangaka : Machiko SATONAKA.

Véritable artiste majeure de l'univers du shojo manga, son travail n'avait jusqu'à présent pas fait l'objet d'une traduction française.

Cete erreur sera réparée avec la sortie en septembre prochain de La vie de Raffaello SANTI, dit Raphaël (Rafaello sono ai / ラファエローその愛 en vo) chez Black Box. Machiko Satonaka revient sur le parcours unique de cet artiste, s'attardant sur sa vie quotidienne, sa façon de travailler, de penser son œuvre mais aussi sur son intelligence peu commune.
 


Résumé

Né à la fin du XVème siècle dans l'Italie de la Renaissance, Raphaël est considéré comme le plus grand peintre de son siècle et plus généralement de l'histoire de la peinture. Partant d'Urbino, passant des années à Florence, rencontrant Michel-Ange et Léonard de Vinci, distillant son art à Rome au service de la papauté, Raphaël va connaître un succès aussi grandiose que fulgurant jusqu'à son décès brutal à 37 ans. 
     
    


Le parcours de Machiko SATONAKA

Elle débute son activité professionnelle en 1964 à seulement 16 ans grâce à "Pia no shozo", œuvre pour laquelle elle remporte d'emblée le prix Kodansha de la jeune artiste.
Elle est, avec Moto Hagio et Ryoko Ikeda, considérée comme une des grandes figures du shojo manga, pionnière dans le manga pour jeunes femmes.
Son style à la fois gracieux, tout en étant académique  tend vers un réalisme scénaristique bien loin des histoires à l'eau de rose habituelles de l'époque.

Durant les années 70 et 80, elle travaille pour plusieurs éditeurs de nombreux manga qui sont désormais des classiques du genre : Hime ga yuku et Ashita Kagayaku (pour lesquels elle recevra le prix Kodansha pour la culture), Kariudo no seiza en 1980 où elle recevra le prix Kodansha ainsi que de nombreuses séries historiques dont elle s'est aussi fait une spécialité.

Toujours très active, elle est encore récompensée en 2006 par le ministère japonais de la culture et des sciences pour l'ensemble de son œuvre.
Boulimique de travail, elle continue d'éditer régulièrement des œuvres liées notamment à l'histoire et fait partie de la Japan Cartoonist Association.