Un humain capable de donner forme à l’obscurité présente dans le cœur des gens, soit qui ressentent une réelle haine, soit qui sont déjà tombés très loin dans le crime, et qui leur permet de contrôler leur toga. Ce pouvoir est appelé « l’obscurité blanche », car il ne naît pas de la fureur, mais d’un choix fait de sang-froid, en parfaite connaissance de cause. Un personnage énigmatique, assez dérangeant, mais qui manque un peu de consistance (pas assez de place en 8 volumes). À l’inverse de Tobé, son obscurité est « silencieuse », plus profonde et mieux ancrée encore dans sa nature, ce qui en fait un représentant différent du « mal », et peut-être la pire sorte qui soit. Tobé lui voue une haine farouche, même avant d’avoir entamé son travail sur lui-même.
