Critique du volume manga
Publiée le Mardi, 17 Mai 2016
Depuis que sa mère s’est remariée, Daisuke, lycéen, côtoie Haruka, son demi-frère. Il est beau et est en couverture de magazine. Mais, Daisuke a subi un traumatisme violent étant plus jeune et personne n’est au courant. Alors, quand Haruka le touche, ses terribles peurs remontent. Quel est donc ce traumatisme ? Qui a pu faire cela à Daisuke ?
Le titre de ce one-shot est révélateur de ce que regorge comme style d’histoires. Pendant des pages et des pages, nous allons donc découvrir différentes histoires sur la base du viol. Alors, la question que l’on peut se poser est : est-ce que cela apporte un tant soit peu à l’histoire ? La réponse est non ! L’auteur nous déverse des scénarios certes différents mais où le viol sert à montrer les sentiments amoureux de l’autre. Bien sûr ! Si on aime profondément une personne on la viole ! Et à son tour, même si elle est violée, la victime éprouvera de l’amour à la rencontre de son bourreau… La seule histoire correcte sera celle mettant en scène l’amour entre un policier et un jeune étudiant policier.
Quant aux graphismes, même si par moment nous pouvons constater quelques problèmes de proportions au niveau des corps, les visages sont gracieux. L'édition, elle, est correcte.
« Violation » est un titre que l’on oubliera vite tant il met sur un piédestal le viol ! Nous avons du mal à comprendre cette attirance qu’ont les auteurs japonais pour ce thème.
Le titre de ce one-shot est révélateur de ce que regorge comme style d’histoires. Pendant des pages et des pages, nous allons donc découvrir différentes histoires sur la base du viol. Alors, la question que l’on peut se poser est : est-ce que cela apporte un tant soit peu à l’histoire ? La réponse est non ! L’auteur nous déverse des scénarios certes différents mais où le viol sert à montrer les sentiments amoureux de l’autre. Bien sûr ! Si on aime profondément une personne on la viole ! Et à son tour, même si elle est violée, la victime éprouvera de l’amour à la rencontre de son bourreau… La seule histoire correcte sera celle mettant en scène l’amour entre un policier et un jeune étudiant policier.
Quant aux graphismes, même si par moment nous pouvons constater quelques problèmes de proportions au niveau des corps, les visages sont gracieux. L'édition, elle, est correcte.
« Violation » est un titre que l’on oubliera vite tant il met sur un piédestal le viol ! Nous avons du mal à comprendre cette attirance qu’ont les auteurs japonais pour ce thème.
25/02/2016 