Roji ! Vol.5 - Actualité manga

Critique du volume manga

Publiée le Jeudi, 11 Décembre 2014

Après les fées, Yuzu a fait la connaissance de Hazama, une petite déesse chargée de veiller sur l'équilibre de l'univers, rien de moins ! Après avoir fait disparaître les arbres géants qui étaient apparus, ce petit être commence à se poser des questions sur les événements bizarres qui se passent dans le quartier, et met en cause l'une de ses compagnes divines, la dénommée Akagi la Rouge. Quant à Yuzu, elle est bien obligée de s'interroger sur ce qu'est sa broche rouge...


Dans ce cinquième tome, certaines choses continuent de se préciser pour nos héros. En interrogeant sa mère, Yuzu en apprend plus sur les origines de sa broche et sur celles de Zanzibar. Quant à Karin, le livre qu'elle a obtenu à la Librairie de Minuit semble renfermer des pouvoirs magiques plutôt étranges. Enfin, quel est le but recherché par Akagi la Rouge, qui s'amuse à semer un peu la zizanie dans le quartier ?


Si vous comptez réellement sur une déferlante d'informations, sachez que ce n'est tout de même pas le cas, car Keisuke Kotobuki, ne s'écartant pas de l'ambiance de sa série, continue de disséminer lentement ses révélations, au gré des aventures de nos héros, qui prennent souvent le dessus et mettent ici en avant pas mal de protagonistes, que ce soit Juzo et ses amis lors d'une partie de "shoot-cannette", Karin qui pourra compter sur l'aide de Kokoro pour rapporter une bouteille trop lourde, ou les chatons Freddie et Mercury qui partent à la poursuite de Zanzibar. Sans aller chercher très loin, ces petits moments de vie s"avèrent suffisamment amusants et légers pour continuer de nous faire passer un bon moment. Toutefois, d'autres passages laissent plus circonspect. Par exemple, les enfants ne semblent pas très préoccupés par la magie que renferme le livre, et se contentent de jouer avec...


L'auteur continue de distiller plus ou moins bien les mystères de son scénario, au fil d'instants de vie souvent sympathiques et portés par le joli travail visuel.


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
Koiwai
14 20
Note de la rédaction