Critique du volume manga
Publiée le Jeudi, 12 Janvier 2017
Tandis que Natsumi accompagne toujours Jirô Sekiguchi, Yamato a décidé de s'éloigner de Miku et de poursuivre seul ses manigances en vue de son ultime affrontement avec les frères Sekiguchi et Sawada. Une tâche d'autant plus trouble qu'il sait désormais que Yûdai Kawasaki n'est autre que son père qu'il pensait mort... Mais Miku a décidé de se prendre en main et, seule, se rend elle aussi jusqu'à Tôkyô pour y faire une chose impensable. Trouvant refuge chez Mme Mizuhara, elle se prépare à se rendre au siège d'une chaîne de télévision dans un but bien précis. Pendant ce temps, l'heure des retrouvailles sonne entre Shinnosuke Sawada et Yûdai Kawasaki...
Dans ce volume, on peut dire que chacun continue de se mouvoir doucement mais sûrement en vue du grand final. Yamato a désormais le coeur sombre, et ne peut s'empêcher de penser que s'il veut mettre fin à tout ça il devra forcément devenir un meurtrier. Plus fragile, Miku est elle aussi décidée à agir à sa manière, quitte à mettre un grand coup de pied dans la fourmilière, et l'on appréciera son passage chez Mme Mizuhara qui permet d'accentuer la tension dramatique et humaine autour de la mort de Daisuke ainsi que l'énigme du médaillon qu'il avait en sa possession. A l'heure actuelle Natsumi reste elle aussi une énigme dont le rôle devrait encore grandir dans le prochain tome, et de son côté Madanbashi poursuit ses investigations. Quant à la rencontre entre Shinnosuke Sawada et Yûdai Kawasaki, il s'agit sûrement de l'élément le plus intéressant du tome, en ceci qu'il lève le voile sur la façon dont Yûdai a survécu, sur la relation passée entre les deux hommes, sur leur lien avec l'île de Gunkanjima... La tension monte d'autant plus que le premier risque d'être mis à mal par le scandale des morts retrouvés là où les époux Odagiri étaient retenus, et que la vie du deuxième semble en sursis...
A part ça ? Hé bien, pas forcément grand chose à signaler. Entre petits chantages, manipulations, ou décisions importantes, Jun Watanabe se contente de bouger ses pions petit à petit, abordant ce qui doit l'être en vue de tout réunir pour la dernière ligne droite. En cela, les deux derniers tomes pourraient être très prenants et tendus, mais en attendant on a ici un volume qui, même s'il accomplit son rôle, s'avère légèrement pataud dans sa gestion des événements assez mécanique et sans réelles envolées, et dans sa dernière partie de tome ponctuée de pas mal de petits raccourcis.
Reste que tout est quasiment en place pour le final, désormais. Ce 17ème volume de Montage manque un peu de verve, mais parvient sans difficulté à entretenir l'envie de découvrir la chute de ce thriller.
Dans ce volume, on peut dire que chacun continue de se mouvoir doucement mais sûrement en vue du grand final. Yamato a désormais le coeur sombre, et ne peut s'empêcher de penser que s'il veut mettre fin à tout ça il devra forcément devenir un meurtrier. Plus fragile, Miku est elle aussi décidée à agir à sa manière, quitte à mettre un grand coup de pied dans la fourmilière, et l'on appréciera son passage chez Mme Mizuhara qui permet d'accentuer la tension dramatique et humaine autour de la mort de Daisuke ainsi que l'énigme du médaillon qu'il avait en sa possession. A l'heure actuelle Natsumi reste elle aussi une énigme dont le rôle devrait encore grandir dans le prochain tome, et de son côté Madanbashi poursuit ses investigations. Quant à la rencontre entre Shinnosuke Sawada et Yûdai Kawasaki, il s'agit sûrement de l'élément le plus intéressant du tome, en ceci qu'il lève le voile sur la façon dont Yûdai a survécu, sur la relation passée entre les deux hommes, sur leur lien avec l'île de Gunkanjima... La tension monte d'autant plus que le premier risque d'être mis à mal par le scandale des morts retrouvés là où les époux Odagiri étaient retenus, et que la vie du deuxième semble en sursis...
A part ça ? Hé bien, pas forcément grand chose à signaler. Entre petits chantages, manipulations, ou décisions importantes, Jun Watanabe se contente de bouger ses pions petit à petit, abordant ce qui doit l'être en vue de tout réunir pour la dernière ligne droite. En cela, les deux derniers tomes pourraient être très prenants et tendus, mais en attendant on a ici un volume qui, même s'il accomplit son rôle, s'avère légèrement pataud dans sa gestion des événements assez mécanique et sans réelles envolées, et dans sa dernière partie de tome ponctuée de pas mal de petits raccourcis.
Reste que tout est quasiment en place pour le final, désormais. Ce 17ème volume de Montage manque un peu de verve, mais parvient sans difficulté à entretenir l'envie de découvrir la chute de ce thriller.
07/04/2017 