Mei's Butler Vol.6 - Actualité manga

Mei's Butler Vol.6 : Critiques

Mei-chan no Shitsuji

Critique du volume manga

Publiée le Mercredi, 05 Novembre 2014

Nezu, le majordome de Fujiko, semble n'être qu'un traître ! Sur ordre de son patron Bill, il a kidnappé sa maîtresse, qui est désormais en danger. Partis à leur recherche, Mei et Kento se font attraper à leur tour... Comment se terminera cette affaire ?


Un peu n'importe comment, à vrai dire. Si l'on apprécie de voir enfin sur le devant de la scène le mature Nezu et la sexy Fujiko, ce que l'on retient du focus sur eux est assez mince, la faute à un déroulement qui, quand il n'est pas trop rapide (le revirement de Nezu, par exemple, ou le lien entre Nezu et Bill, les motivations de ce dernier...), repose sur des rebondissements peu crédibles (le jeu de la roulette, la façon dont Bill se fait avoir comme un bleu...). Le meilleur point vient alors de Kento, qui, bien que maladroit et encore très imparfait en tant que majordome, fait du mieux qu'il peut, amuse quand il joue de ses charmes féminins, et est vraiment prêt à tout pour Mei, y compris à frôler la mort. Ca en deviendrait presque frustrant tant notre jeune héroïne le lui rend mal.


La suite du tome, elle, comporte aussi son lot d'éléments intéressants et de choses frustrantes ou peu convaincantes. On reste clairement intrigué par les agissements de Shinobu et par la détresse psychologique qui subit un véritable lavage de cerveau et revient auprès de Mei complètement métamorphosé. Mais Riko Miyagi étire un peu trop la sauce, rallonge cela, replonge une énième fois Mei dans des tourments sentimentaux qui donnent envie de la baffer tant elle est, sans s'en rendre compte, odieuse avec un Kento qui a décidément beaucoup de patience... Toutefois, on sent bien qu'on approche d'une fin de partie : quelques nouvelles informations encore trop succinctes arrivent (notamment autour de Hongo), soeur Maria reste assez énigmatique, et le duel qui se prépare en fin de tome s'annonce très riche en tension et très important.


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
Koiwai
13 20
Note de la rédaction
Note des lecteurs