Inséparables Vol.10 - Actualité manga

Inséparables Vol.10 : Critiques

Hachimitsu ni Hatsukoi

Critique du volume manga

Publiée le Mardi, 24 Octobre 2017

Tsuzuki se retrouve sans toit suite à l’incendie de son appartement. Koharu dans un élan de générosité, lui propose de venir habiter chez elle. En faisant rentrer le loup dans la bergerie, Nacchan n’est pas du tout rassuré. Surtout quand il doit laisser seule Koharu, car il doit faire un stage de football. Tsuzuki profitera-t-il de vivre dans la même maison que Koharu pour tenter un rapprochement avec elle ?


Pour commencer, qu’est-il arrivé à Koharu ? Quand nous commençons la lecture, nous avons du mal à reconnaître Koharu physiquement… Un changement de style à deux tomes de la fin qui n’est pas très bien venu. Concernant l’intrigue, l’auteur tente à nouveau un retournement de situation en amenant Tsuzuki à venir vivre chez Koharu. On espérait un peu de suspense quand un terrible orage se déclenche et que Tsuzuki et Koharu se retrouvent seuls. Tout était bien mis en place : les parents de Koharu ne sont pas là et ne peuvent venir à cause de cet orage et décident de dormir à l’hôtel. C’est du pain béni pour Tsuzuki. Koharu étant très peureuse, il apparaît comme l’homme sur qui elle peut compter et surtout qui peut la protéger. Mais, l’auteur gâche finalement tout en faisant aborder aussi rapidement que possible tout rapprochement. Et que dire de l'enchaînement du scénario quand les parents de Koharu étaient obligés de dormir à l’hôtel à cause du terrible orage, sont finalement de retour, car ils ne pouvaient les laisser seuls ? Quelle est la logique ? Pour sauver le tout, Ai Minase profite de la pièce de théâtre que doivent mettre en scène Koharu, Tsuzuki et Nacchan, pour mettre Tsuzuki au centre de son intrigue avec ses problèmes familiaux. Bien sûr, Koharu est celle qui réussira à faire réconcilier toute la famille de Tsuzuki…


Encore un tome décevant, l’auteur tire en longueur et ne fait rien pour apporter de la crédibilité à son titre. Les quelques événements qui auraient pu relancer de l’intérêt sont vite abordés et nous nous lassons de cette façon de faire de l’auteur.


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
Einah
9 20
Note de la rédaction
Note des lecteurs