Dragon Ball Super Vol.2 - Actualité manga
Dragon Ball Super Vol.2 - Manga

Dragon Ball Super Vol.2 : Critiques Annonce de l'univers gagnant

Dragon ball Super

Critique du volume manga

Publiée le Mercredi, 23 Août 2017

Critique 2 :


Suite à une brouille des Dieux jumeaux des univers 6 et 7, Champa et Beerus, un tournoi est organisé, rassemblant les cinq guerriers les plus puissants de chacun de ces univers, et pour le moment, l'univers 7, celui de nos héros n'est pas à la fête! Mais Végéta entre en scène et redresse la barre!
Beerus reprend confiance dans sa victoire, mais Hit, le plus puissant guerrier de l'univers 6 se montre encore un cran au dessus! Est ce que Goku parviendra à déjouer sa redoutable technique?

Alors que l'animé dont est issu le manga se poursuit irrémédiablement, que ce dernier est bien avancé dans l'histoire, le rythme de parution du manga avance plutôt lentement en comparaison...ce qui pourrait expliquer l'aspect précipitation des événements de ce tournoi!
Aussi plaisant soit il, on a tout de même le sentiment que tout va trop vite, sans revenir sur l'affrontement contre Beerus et le non affrontement contre Freezer dans le premier opus!
Le tournoi se poursuit donc, avec pas mal d'humour, ce qui s'avère assez rafraîchissant, on sent la volonté de retrouver la légèreté des origines de la saga, qui avait disparu avec l'arc "Z".
Faut il pour autant bâcler les affrontements? D'autant que c'est avant tout ce que viennent chercher nombre de lecteurs!

On note un traitement intéressant de Végéta, définitivement le personnage le plus intéressant de la série, car complexe et non manichéen. Mais sans surprise il va finir par laisser sa place à Goku pour un combat plus intense et plus sérieux! Une finale, un combat essentiel présentant un personnage charismatique qu'on sera appelé à revoir, se déroulant sur une quarantaine de pages... En gros l'arc du tournoi des deux univers se déroule sur l'équivalent d'un seul tome... Encore une fois cela apparaît un peu léger.

On ne peut s’empêcher de ressentir une certaine frustration, mais cette partie était avant tout une introduction à quelque chose de plus conséquent, de plus grand, de plus ambitieux: on sait désormais qu'on ne se cantonnera pas à deux univers mais que bien d'autres seront impliqués, avec de nombreux autres combattants! Et ça c'est plutôt excitant (sauf si on sait que cela sera très mal traité et très décevant, du moins dans l'animé...mais ça on ne le sait pas encore...officiellement)!

La suite ouvre un nouvel arc qui lui aussi s'annonce prenant et surprenant bien que là encore il y aurait bien des choses à dire sur la légitimité de cette partie!
Tout le monde ne peut que se réjouir de retrouver le Trunks du futur...mais n'est ce pas juste qu'un énorme fan service? Il y a déjà un Trunks désormais, pourquoi ne pas se contenter des personnages présents?
D'autant que ce n'est absolument pas cohérent qu'il revienne dans le monde de nos héros... Son futur à été modifié, il appartient à une nouvelle réalité temporelle, il ne peut pas revenir dans le passé d'une réalité qui n'est plus la sienne! Mais ce n'est pas la première fois que Toriyama ne s’embarrasse pas d'incohérence...

Une nouvelle fois on sort de ce tome assez sceptique, mi figue mi raisin! Il y a certes des éléments intéressants, mais le traitement de l'ensemble s'avère vraiment peu satisfaisant, on a vraiment le sentiment d'être avec un manga amateur (pas pour le dessin qui est superbe, bravo à Toyotaro) disposant d'une narration bancale, avec des événements écrits par des fanboys ...


Critique 1 :


Les retrouvailles entre Beerus et Champa, les dieux de la destruction des univers 7 et 6, ont abouti à un tournoi pour permettra de départager les deux divinités. A la clef : les Super Dragon Ball, éparpillées dans les deux univers, à l’origine des boules crées par les Namek. Le premier match a opposé Gokû à Botamo, duel duquel le saiyen en est sorti vainqueur. Il se confronte maintenant à l’alter-égo de Freezer dans l’univers 6 : Frost. Ce dernier a l’air plus honnête et fair-play que le tyran de l’univers 7, mais ce n’est peut-être qu’une façade…


Avec seulement trois tomes publiés au Japon, le manga Dragon Ball Super connaît une publication assez douce, notamment parce que les premiers chapitres de Toyotarô étaient assez courts et publiés à rythme mensuel. Pourtant, Glénat bat le fer tant qu’il est chaud et propose ce second opus à peine trois mois avec le premier, une bonne surprise puisque ce volume va au-delà de l’intrigue de l’anime selon la diffusion télévisée de Toonami.


La première grande partie de ce tome est focalisée sur la conclusion du tournoi des univers 6 et 7. Clairement, on sent que Toriyama a imaginé ici une autre phase d’introduction, un moyen d’exploiter le concept des univers tout en préparant le terrain pour d’autres arcs à venir. Car avec ce tournoi, de nouveaux concepts sont plantés et l’univers se voit encore enrichi, notamment en ce qui concerne les divinités avec l’apparition d’une entité au-dessus de tout et qui sera très probablement exploitée davantage dans les tomes à venir.


Et concernant le tournoi à proprement parler, Toriyama se montre fidèle à l’ambition du premier tome : allier la surenchère du second cycle de l’œuvre originale tout en proposant un petit retour aux sources en incluant pas mal d’humour ainsi qu’une légèreté qui caractérisait surtout les Tenkaichi Budokai des débuts de l’aventure de Gokû. Chaque combat amène alors sa tonalité : celui contre Magetta est assez amusant, notamment dans sa conclusion, tandis que les affrontements face à Frost et Hit proposent des affrontements beaucoup plus pêchus et intenses, dans la lignée de ceux des arcs Freezer ou Cell pour ne citer qu’eux. Toyotarô, dessinateur de l’œuvre, en profite pour dépeindre tout son amour pour Dragon Ball tant il propose une mise en scène nerveuse, très proche de celle de Toriyama en son temps. A tel point que certaines cases sont des hommages à des scènes clefs du manga. Par exemple, le moment où Frost prend un coup de pied est l’exact calque du moment où Radditz frappa Gokû pour la première fois. Mais cela reste des hommages qui taperont surtout dans les yeux de ceux qui connaissent le manga initial par cœur, aucune raison de bouder son plaisir, donc. Enfin, on notera que le combat de Vegeta s’avère un poil surprenant, le fier saiyen apparaissant sous un jour assez nouveau et très agréable tant il s’accorde avec le traitement du personnage depuis l’arc Majin Buu. Bref, cet arc du tournoi se sera montré globalement très efficace et fidèle à l’esprit Dragon Ball. Après un premier tome en demi-teinte, voilà une suite réussie.


Mais les choses ne s’arrêtent pas là, aussi la dernière partie de ce tome est l’occasion d’introduire un nouvel arc, une partie scénaristique beaucoup plus longue puisqu’elle devrait s’étendre jusqu’au tome cinq. Et clairement, cette amorce d’arc réussit dès ses premières pages. Par le contexte présenté, les enjeux apparaissent évidents et le retour d’un personnage emblématique a de quoi faire hurler de plaisir, même si la formule peut paraître un peu simple pour l’instant. Mais Dragon Ball ayant toujours assumé son fan-service, rien de bien gênant, bien au contraire. Toyotarô, par sa mise en scène, parvient à faire monter crescendo la tension autour du nouvel ennemi, un antagoniste qui a de quoi soulever bien des questions ! Alors, le ton se veut plus sombre et le récit passionnant. A l’époque, surtout en ce qui concerne l’anime, l’arc était présenté comme ambitieux car le danger menacerait aussi bien nos héros que les univers. Ainsi, tout ce développement autour des douze univers prend peu à peu une certaine consistance et avec une telle formule, difficile de contenir son impatience à l’idée de lire la suite ! Mais il faudra se montrer patient…



Critique 2 : L'avis du chroniqueur
Erkael

13 20
Critique 1 : L'avis du chroniqueur
Takato
16 20
Note de la rédaction
Note des lecteurs