Critique du volume manga
Publiée le Vendredi, 08 Août 2014
Bobobo et Don Patchi ont fusionné. Le résultat a raison de Gelée Latremblote qui s’avère impuissant. Seulement, un nouvel ennemi se dresse face à nos héros : Cuirassé, un puissant général des brigades. Un long combat s’annonce…
Comme un nekketsu classique, Bobobo-bo Bo-bobo poursuit ses différents arcs en succédant les adversaires puissants. Sauf que Bobobo n’est pas un nekketsu classique et réserve toujours beaucoup de surprises.
On commence à connaître la recette, la série suit un semblant de fil rouge, à savoir défaire tel adversaire ou secourir Beauty, tout en partant dans le n’importe quoi le plus total. Mais cette fois, Yoshio Sawai se montre un peu moins barré dans son humour. Le tout reste bourré d’imagination, bien entendu, et les gags absurdes se succèdent volontiers à chaque page, mais le niveau d’excellence du tome précédent était tel qu’on rit un peu moins sur ce volet. Et pourtant, tout a de quoi être hilarant, si bien qu’une avalanche de gag sur le caca devient désopilante. Ou alors, peut-être est-ce parce qu’on commence à être habitué par Bobobo. La recette nous a atteint et le lecteur, imprégné de la folie des personnages, commence à considérer chaque déboire loufoque comme une routine… Preuve que le mangaka n’arrête jamais dans le délire !
Heureusement, même si l’hilarité est un chouia moins présente dans ce volume, on continue d’apprécier cette burlesque épopée grâce aux personnages que nous avons appris à connaître et continuent d’être imprévisibles. Il est toujours amusant de voir que cette troupe mène un grand combat, permettant à Yoshio Sawai de détourner sans cesse les codes du shônen pour partir à chaque fois plus loin dans le n’importe quoi. Par exemple, ce volume est l’occasion d’agrandir l’équipe de héros. Le mangaka utilise alors une recette bien connu du nekketsu, mais présente le tout de manière si décalée que la formule est aussi barrée qu’originale. Alors, on se dit que même si la routine s’installe dans la série, Bobobo continuera de nous faire rire, et on n’imagine pas se lasser complètement de l’œuvre.
Sur son quatrième tome, Bobobo-bo Bo-bobo se montre un tout petit peu moins efficace de l’excellentissime volume précédent. Attention, la série reste drôle et les idées du mangaka sont toujours aussi incroyables. Yoshio Sawai ne semble pas avoir de limites, et tant mieux ! On espère ainsi pouvoir rire des volumes durant.
Comme un nekketsu classique, Bobobo-bo Bo-bobo poursuit ses différents arcs en succédant les adversaires puissants. Sauf que Bobobo n’est pas un nekketsu classique et réserve toujours beaucoup de surprises.
On commence à connaître la recette, la série suit un semblant de fil rouge, à savoir défaire tel adversaire ou secourir Beauty, tout en partant dans le n’importe quoi le plus total. Mais cette fois, Yoshio Sawai se montre un peu moins barré dans son humour. Le tout reste bourré d’imagination, bien entendu, et les gags absurdes se succèdent volontiers à chaque page, mais le niveau d’excellence du tome précédent était tel qu’on rit un peu moins sur ce volet. Et pourtant, tout a de quoi être hilarant, si bien qu’une avalanche de gag sur le caca devient désopilante. Ou alors, peut-être est-ce parce qu’on commence à être habitué par Bobobo. La recette nous a atteint et le lecteur, imprégné de la folie des personnages, commence à considérer chaque déboire loufoque comme une routine… Preuve que le mangaka n’arrête jamais dans le délire !
Heureusement, même si l’hilarité est un chouia moins présente dans ce volume, on continue d’apprécier cette burlesque épopée grâce aux personnages que nous avons appris à connaître et continuent d’être imprévisibles. Il est toujours amusant de voir que cette troupe mène un grand combat, permettant à Yoshio Sawai de détourner sans cesse les codes du shônen pour partir à chaque fois plus loin dans le n’importe quoi. Par exemple, ce volume est l’occasion d’agrandir l’équipe de héros. Le mangaka utilise alors une recette bien connu du nekketsu, mais présente le tout de manière si décalée que la formule est aussi barrée qu’originale. Alors, on se dit que même si la routine s’installe dans la série, Bobobo continuera de nous faire rire, et on n’imagine pas se lasser complètement de l’œuvre.
Sur son quatrième tome, Bobobo-bo Bo-bobo se montre un tout petit peu moins efficace de l’excellentissime volume précédent. Attention, la série reste drôle et les idées du mangaka sont toujours aussi incroyables. Yoshio Sawai ne semble pas avoir de limites, et tant mieux ! On espère ainsi pouvoir rire des volumes durant.
24/08/2011 