Blue blood gears Vol.4 - Actualité manga

Blue blood gears Vol.4 : Critiques

Seiketsu no Haguruma

Critique du volume manga

Publiée le Mercredi, 21 Janvier 2015

Après avoir appris le rêve de paix qui anime Kodo, la journaliste Nhon s'interroge sur les origines de la détermination sans failles du jeune garçon. Elle commence à entrevoir ces raisons dans l'histoire racontée par Trent. Une histoire qui opposa Kodo à son propre frère, le prince Siquala, dans un affrontement à l'issue tragique...


Entamé dans le tome précédent, l'arc revenant sur ce qui est arrivé à Kodo se poursuit et se termine ici, en occupant la majorité de ce quatrième tome. Après avoir rencontré la dénommée Noire, Kodo se retrouve face à son grand frère, le prince Siquala, qu'il continue d'aimer malgré la situation. Le prince des Sang Bleu semble possible à raisonner, du moins Kodo le pense-t-il. Mais une nouvelle fois, toute l'horreur de la guerre va lui revenir en pleine face, tant la haine entre Sang Bleu et Sang Rouge semble profondément ancrée. Kohei Hanao continue de nous décrire un conflit comme il en existe beaucoup, un conflit qui a vu la haine engendrer la haine. Un cercle vicieux de plus en plus fort, aussi dangereux que bête, et poussant les personnages dans des extrémités tragiques.


Le récit de ce passé reste très basique, a un goût de vu et revu, et n'est pas spécialement embelli par des combats qui, une nouvelle fois, restent plus classiques, moins inspirés qu'au début, car ils n'exploitent plus les spécificités des Hagurumas. L'ensemble n'en reste pas moins plaisant à parcourir, car la tension est bien là, de même que le parfum de tragédie auquel doit une nouvelle fois se confronter Kodo. Noire est également un personnage intrigant, mais finalement assez peu mis en avant.


A l'issue de ce flash-back classique et sans doute un peu trop long, les choses sérieuses reprennent dans une fin de tome annonçant une suite mouvementée, où le vrai combat devrait enfin commencer.


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
Koiwai
13 20
Note de la rédaction