Critique du volume manga
Publiée le Jeudi, 20 Avril 2017
Il est temps pour les jumeaux de la famille Mamizuka d’aller chez le coiffeur mais rien n’est simple lorsqu’il s’agit de couper les cheveux à deux petits. Il s’ensuit dès lors quelques péripéties quant à l’acceptation de la nouvelle coupe des jumeaux.
Comme à son habitude, Hari Tokeino nous présente plusieurs récits indépendants les uns des autres. Le premier s’intéressera aux nouvelles mésaventures d’Iniu, celui qui a du mal à assumer sa ‘passion’ des belles jeunes filles (mais hélas souvent travesti(e)s). Dans cette histoire, sa petite sœur, trop honteuse de son grand frère, décide d’avoir un nouveau fraternel. Bien que se voulant amusante, cette première anecdote se montrera bien trop alambiquée, peu crédible et partant dans toutes les directions.
La seconde histoire nous contera la participation des enfants à une sorte de jeu filmé (dans le cadre d’un concours), qui va simuler l’enlèvement d’êtres chers. Cette vidéo a pour objectif d’observer la réaction des petits bouts de chou en cas de situation grave. Ce second épisode sera encore moins crédible et réaliste que le premier. On a vraiment du mal à percevoir l’intérêt d’une telle intrigue. Les autres aventures du tome se centreront sur la grippe de Monsieur Saikawa, sur le white day et sur la phobie de Taka de se brosser les dents. Toutes ces anecdotes s’avèreront très adorables à suivre mais malgré tout passables. Une fois lu, on aura déjà oublié le contenu du volume.
En somme, c’est mignon mais ça s’arrête là. Baby-sitters semble hélas ne proposer plus que des petites histoires adorables qui se succèdent et se confondent pour mieux s’oublier. Il est évident que Hari Tokeino n’a plus l’intention de créer un petit fil conducteur qui évolue (les enfants ne semblent pas grandir, il n’y a aucune histoire d’amour qui se développe, il n’y a pas d’événements majeurs qui se passent). C’est dommage. C’est certes adorable à lire mais à force la lassitude nous gagne. On finit par s’ennuyer, à s’endormir. L’intérêt commence réellement à disparaître.
Comme à son habitude, Hari Tokeino nous présente plusieurs récits indépendants les uns des autres. Le premier s’intéressera aux nouvelles mésaventures d’Iniu, celui qui a du mal à assumer sa ‘passion’ des belles jeunes filles (mais hélas souvent travesti(e)s). Dans cette histoire, sa petite sœur, trop honteuse de son grand frère, décide d’avoir un nouveau fraternel. Bien que se voulant amusante, cette première anecdote se montrera bien trop alambiquée, peu crédible et partant dans toutes les directions.
La seconde histoire nous contera la participation des enfants à une sorte de jeu filmé (dans le cadre d’un concours), qui va simuler l’enlèvement d’êtres chers. Cette vidéo a pour objectif d’observer la réaction des petits bouts de chou en cas de situation grave. Ce second épisode sera encore moins crédible et réaliste que le premier. On a vraiment du mal à percevoir l’intérêt d’une telle intrigue. Les autres aventures du tome se centreront sur la grippe de Monsieur Saikawa, sur le white day et sur la phobie de Taka de se brosser les dents. Toutes ces anecdotes s’avèreront très adorables à suivre mais malgré tout passables. Une fois lu, on aura déjà oublié le contenu du volume.
En somme, c’est mignon mais ça s’arrête là. Baby-sitters semble hélas ne proposer plus que des petites histoires adorables qui se succèdent et se confondent pour mieux s’oublier. Il est évident que Hari Tokeino n’a plus l’intention de créer un petit fil conducteur qui évolue (les enfants ne semblent pas grandir, il n’y a aucune histoire d’amour qui se développe, il n’y a pas d’événements majeurs qui se passent). C’est dommage. C’est certes adorable à lire mais à force la lassitude nous gagne. On finit par s’ennuyer, à s’endormir. L’intérêt commence réellement à disparaître.
06/03/2024 