Ciné-Asie Le film Sayonara de Kôji Fukada bientôt au cinéma en France
Survivance distribuera au cinéma en France le film Sayonara à partir du 19 avril.
Réalisé en 2015 par Kôji Fukada (Au revoir l'été, Harmonium), ce drame aux accents d'anticipation se base sur une pièce d'Oriza Hirata pour proposer un récit ancré dans le problème du nucléaire au Japon. Il fut diffusé en avant-première au Festival du Film International de Tokyo en octobre 2015 avant de sortir dans les cinémas nippons le 21 novembre de cette même année.
Synopsis :
Dans un avenir proche, le Japon est victime d’attaques terroristes sur ses centrales nucléaires. Irradié, le pays est peu à peu évacué vers les états voisins. Tania, atteinte d’une longue maladie et originaire d’Afrique du Sud, attend son ordre d’évacuation dans une petite maison perdue dans les montagnes. Elle est veillée par Leona, son androïde de première génération que lui a offert son père. Toutes deux deviennent les dernières témoins d’un Japon qui s’éteint à petit feu et se vide par ordre de priorité, parfois selon des critères discriminatoires. Mais doucement, l’effroi cède la place à la poésie et la beauté.
Réalisé en 2015 par Kôji Fukada (Au revoir l'été, Harmonium), ce drame aux accents d'anticipation se base sur une pièce d'Oriza Hirata pour proposer un récit ancré dans le problème du nucléaire au Japon. Il fut diffusé en avant-première au Festival du Film International de Tokyo en octobre 2015 avant de sortir dans les cinémas nippons le 21 novembre de cette même année.
Synopsis :
Dans un avenir proche, le Japon est victime d’attaques terroristes sur ses centrales nucléaires. Irradié, le pays est peu à peu évacué vers les états voisins. Tania, atteinte d’une longue maladie et originaire d’Afrique du Sud, attend son ordre d’évacuation dans une petite maison perdue dans les montagnes. Elle est veillée par Leona, son androïde de première génération que lui a offert son père. Toutes deux deviennent les dernières témoins d’un Japon qui s’éteint à petit feu et se vide par ordre de priorité, parfois selon des critères discriminatoires. Mais doucement, l’effroi cède la place à la poésie et la beauté.
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De Raimaru [1244 Pts], le 24 Janvier 2017 à 21h13
Pour l'avoir vu au festival Kinotayo cette année, je recommande très, TRES, fortement ce film.
De nolhane [6594 Pts], le 24 Janvier 2017 à 20h28
Vivement! Koji Fukada est un réalisateur très prometteur :)